400 Transporteurs déposent le bilan, pourquoi??

Mauvaise nouvelle 400 transporteurs déposent le bilan pourquoi??

Je ne suis pas expert en la matière, mais j'ai mes points de vue, qui à mon avis est un reflet de la réalité.

Donc à mon avis quatres causes majeures, et surement un certain nombre d'autres, mais quatre causes sont les principales causes de ce désastre.

La première, est le transporteur lui même qui dans certain cas ne sais même pas ce qu'est un camion, il sait juste que ce véhicule va d'un point à un autre avec de la marchandise à bord, et qui est facturé X nombres d'€uros. point à la ligne.Trop souvent ils se pavanent au volant de superbes voitures pour faire croire aux autres que tout va bien, certains vont même plus loin, il dilapide l'argent avec une telle facilité que même les chauffeurs prennent peur, ils confondent chiffre d'affaire avec bénéfice.

Mais cela sont, encore une chance, très peu nombreux.

Mais il y en d'autres qui sont transporteurs avec passion, ils sont de moins en moins nombreux, mais il y en a encore, le camion est pour eux toute une vie.

Néanmoins eux aussi ont des problèmes, et parfois les dépôts de bilan viennent mettre un terme à cette passion. Et pourtant ils ont tout tentés pour sortir leurs Stes de l'ornière, et quand les tribunaux de commerce donnent leur sentence, ils restent abasourdis devant cette vie qui prend fin.

Les erreurs qu'ils ont commisent sont d'autres techniques, mais et surtout ils ont été obligés de ce plier à la loi du marché.

Donc leur première erreur est leur faiblesse devant le client.

Il faut que les camions roulent, et même s'il roule au ras des paquerettes en terme de prix kilomètriques, ils croient qu'ils arrivera à assurer les frais du camion, alors ils acceptent tout et n'importe quoi pourvu que cela dégage du chiffre.

Et le client le sait, et souvent il continuera à faire travailler le transporteur de façon à lui maintenir la tête hors de l'eau et pas plus.

Et inutile de dire que le transporteur se retrouve pieds et poings liés devant le client.

Ce genre de client, le monde les connait, j'ai travaillé pour un il y a quelques années. Au terme du contrat ce client assurait à l'époque un certaine somme d'argent mensuelle pour un kilométrique prècis.

Le kilométrique n'était pas trop élevé, 6000, et le role du client était de me faire rouler au moins ces 6000 kilomètres, en début de mois je roulais correctement allant d'un point à un autre sans attentes, puis bizarrement au fur et à mesure que les jours passaient, le frèt devenait plus lent, le client avait rempli son contrat de 6000 et il pouvait prendre le temps de me recharger, parfois je plantais deux jours sur un parking en attente, et quand j'appelais, la réponse était " je n'ais rien trouvé".

Alors que je voyais des camions de ce client venir charger un peu plus loin.

Tous est dit dans tes mots JL. En conséquence je vois qu'une solution qui peut, peut être changer le system, que tous les transporteurs de france en même temps s'organise et s'arrangent pour laisser leurs camions chez eux pendant 1 semaine sans rouler, ça va être dur mais faut qu'ils fassent quelque chose sinon ça va s'empirer.

les prix voila tout

Mais il y a aussi paradoxalement des transporteurs qui tirent les marrons du feu actuel, tout le monde les connait, ils sont soient tout rouge, ou tout bleu avec du rouge, ou bien tout blanc avec une pub en bleu. Ceux la sont des forces, car si ils ont des problèmes, nous ne pouvons le savoir, mais le nombre de personnes travaillant au sein de ces groupes est en lui même une force de dissuasion devant le banquier, de plus ils ont tout les roles, tranporteurs, affrêteurs, logisticiens, entreposeurs.

Mais eux non plus ne bougent pas car leurs clients ne seraient pas content, s'ils bougeaient.

Et pourtant, les solutions sont dans les mains des transporteurs, les lois non appliquées , il est vrai, existent.
Un exemple, la paiement des factures, elles ne peuvent dépasser un mois d'après le législateur, en réalité, elles sont plus souvent proche des paiements à trois mois, voir plus, et donc c'est le transporteur qui devient le banquier du client, paradoxale comme situation, mais c'est la stuation actuelle.

Pendant ce temps le transporteur voit arriver les factures de gasoil et de pneumatiques, et il doit les honorer conformément à la loi.

Donc les transporteurs devraient ce réunir et non pas sous l'égide de leurs syndicats qui sont souvent inféodés au gros transporteur, qui eux ne craignent pas grand chose, mais faire c'est à la mode, le Grenelle du transport.

Leur ligne de conduite, devrait découler du bon sens, demander l'application pleine et entière des lois Dailly, entre autre, prendre aussi des engagements vers le personnel tertiaire ou roulant. Mais auront-ils le courage, je crains que non, il faudrait qu'ils soient moins imbus de leurs personnes pour ce faire.

Acheter des camions et mettre des ânes au volant rien de plus facile, mais rentabiliser à la fois le conducteur ou la conductrice, et le camion demande à notre époque une sévère connaissance du monde du transport.
Ce que bien des transporteurs "banquiers" sont incapables de comprendre.

Un autre intervenant et primordial est le "client"

Ce client souvent est caché dérrière des affrêteurs qui on pignon sur rue que grâce à ce client.

Le client croit qu'il fait la pluie et le bau temps dans le transport, mais cela c'est grâce à la complicité de l'affrêteur mais aussi du transporteur par la force des choses.
Donc ce petit monde, qui fait vivre plus d'un million de personnes, tous se rejêtent les problèmes les uns vers les autres, et tout le monde tourne en rond en ce posant les questions suivantes.

Le client: comment je vais faire pour les avoir, un autre terme serait plus logique mais pas de gros mots.
L'affrêteur: comment je vais faire pour ne pas me faire avoir, ah mais j'y pense il reste le transporteur.

Le transporteur: comment je vais faire pour ne pas me faire avoir ah!! mais j' y pense il y a le chauffeur.

Pour ma part, je ne vais pas pleurer sur les entreprises qui ferment, ils n'ont pas su tirer leur épingle du jeux tant pis pour eux.

Il y a trop de transporteurs disaient je ne sais plus quel ministre socialiste du transport, et bien j'en viens à croire qu'il avait raison.

Puisque les transporteurs n'arrivent pas à s'entendre entre eux pour faire le marcher et qu'ils se tirent dans les pattes, autant qu'il en reste le moins que ce soit des gros, et des étrangers de surcroit sui eux se feront respecter par leurs clients.

Le petites et moyennes entreprises baissent pavillons devant les clients jusqu'à l'étranglement mais lorsqu'il n'y aura plus que quelques gros groupes dans le transport, les clients pleureront pour que ceux ci mettent des camions à leur disposition pour quelques centaines de tonne à l'année.

Le chauffeur :? ce n'est djç plus un routier au sens ou je l'entends mais un "conducteur routier" autrement dit un ouvrier même pas qualifié.

A mon avis qu'ils en profitent de ceux qu'ils ont sous la main, car d'ici quelques années il n'y aura plus personne à mettre au volant des camions car plus personne ne voudra faire ce métier et je peux facilement détailler pourquoi plus personne ne voudra le faire.

Le réservoir de l'est n'est pas inépuisable et la masse de fret échangé dans les pays de l'est augmente les polonais préfèreront largement faire de la Tchéquie Slovaquie Hongrie et rentrer plus souvent à la maison plutôt que de venir s'em 6 mois en Europe de l'ouest.

Bref d'ici quelques années, les transporteurs devront faire des ponts d'or pour trouver ne serait ce que des mauvais chauffeurs.

Le client qui décide en lieu et place du transporteur, des tarifs, et peu lui importe que le transporteur soit obligé de rouler à perte du moment que lui y trouve son compte.

Toujours dans la même logique du client, un client lui même transporteur, refuse encore ce jour toute augmentation du prix du transport.

Son prétexte, la répercution sur le cleint final, vous et moi.

Le gag en l'occurence, c'est qu'il a déjà répercuté les hausses, et même légèrement en avance, cela va s'en dire.

Mais sa rentabilité passe avant le transporteur réel celui qui fait vraiment le travail, et qui ce trouve lié par un contrat.

Il y a quelques années, il y avait la T.R.O Tarification Routière Obligatoire. Les gros transporteurs se sont battus pour faire disparaître cette obligation, car elle tenait compte, de la géographie du frêt, et d'aller à Nice était plus cher que d'aller à Gennevilliers, au depart départ de Clermont Ferrand. De plus elle tenait aussi compte des distances kilométrique.

Mais elle était aussi une contrainte avec une fourchette basse qu'il ne fallait pas dépasser autrement que par des contrats liés eu tonnage.

Les petits transporteurs pouvaient alors savoir le prix du frêt, minimum, et donc de leur seuil de rentabilité.

Mais le client lui cela ne l'intéressait pas car d'après lui il ne pouvait faire jouer la concurrence, donc un ministre je ne sais plus lequel à décidé, d'abroger puis de faire disparaître cette référence. Le Lamy.

Puis doucement certain Client, avec il fautt le dire la complicité des chauffeurs, prirent l'habitude de ce servir du conducteur ou de la conductrice, pour une personne de reception, et en plus, chic gratuit, les quais de reception des bases de grandes surfaces, devinrent encore plus rentable, et je dis bien avec la complicité du personnel de conduite, qui prenait prétexte d'être en retard pour le rechargement, ou inversement pour le chargement.

De plus le receptionnaire allait et va encore plus loin, il demande au chauffeur de ranger les produits de façon à être repérable facilement. Pendant ce temps lui il est dans son bureau à signer les bordereaux d'arrivages ou de départs.

Non content de tous les avantages, complices ou pas, il fixe même les temps de route, et peu importe que le chauffeur soit contraire à la loi de la route, le client ne veut pas le savoir, lui il décide que pour livrer du PQ, c'est à cinq heures et pas à une autre heure, ou alors le camion peut attendre 24 heures, il est vrai que la plus grosse comsommation du PQ est faite le matin au levé du corps.

Juste un détail, le client "grande surface" parque les camions à l'extérieur de la base, et comme cela il n'est pas tenu par l'obligation, de mettre à disposition du personnel roulant des lieux d'acceuil " salle de repos, avec douche, et toilettes" le chauffeur est un animal qui ressemble à un chien, il urine contre ses roues de camion, pour les grosses commissions il n'a qu'a serrer les fesses. Le PQ dans le camion n'est pas pour lui.

Je me suis vu refuser, une livraison pour 12 minutes de retard motivée par une crevaison, au fait le client son nom "Carrefour", et pourtant afin de prévenir, j'avais averti par téléphone, et celui qui m'a répondu m'avait affirmé que l'on m'attendrait. Pour ma part j'ai attendu 18 heures sur le bord de la route du coté de Toulouse 31.

Maintenant regardons du coté des condutrices et conducteurs, et la aussi le malaise est profond.

Le transporteur,voit dans une certaine catégorie de personnel roulant des avantages à n'en point douter.

Plus un conducteur n'a qu'un petit pois dans le cerveau, plus il est interressant aux yeux du transporteur, du moins le croit-il, donc vite embauchons des conducteurs qui ne regarde pas trop les conditions de travail, et surtout qu'il soit obéissant, au moins avec ce genre d'individu, pas de problème, il fera le travail qu'on lui demandera, et surtout il sera silencieux.

Les salaires, peuvent avec ce genre de chauffeur être écrasé, des contrats complètements dingues seront signé par ces chauffeurs, des contrats de 189 heures ou 200 heures ou 220 heures, fi de durée légale du travail, c'est bon pour les tertiaires, pas pour les roulants, les roulants eux ne travaillent pas ils conduisent, c'est différent.

Allez pour faire venir les gogos du volant, ont va équiper les camions de rampes de phares, avec un peu de lumière autour et le paquet cadeau est prêt pour le con de la route.

Je sais même un transporteur, qui va plus loin dans son raisonnement, une rampe de phare haute, = une semaine de vacance en moins, idem pour la basse. Et il y a des cons qui acceptent.

De mes souvenirs, une société du cote de Bordeaux en descendant sur Bayonne, proposait à ses conducteurs des Magnums, et ceux qui en voulaient un ce voyaient retirer une certaine somme sur leur salaire, et bien il y a des conducteurs qui ont roulés en Magnum.

delaruejl a écrit:Le client qui décide en lieu et place du transporteur, des tarifs, et peu lui importe que le transporteur soit obligé de rouler à perte du moment que lui y trouve son compte.

Ma fois je dirais qu'ils ont raison, on vie dans la jungle si ils tombent sur des c.. pour ce laisser faire ils autaient tord de s'en priver.

Il ne faut pas rejeter la faute sur les clients alors que se sont les transporteurs qui n'ont pas les c..... de se faire respecter.

La TRO, il y a longtemps qu'elle était dévoyé le prix kilomètre de la denrée périssable ce facturais au prix de la ferraille et le tour était jouer.

Les bureaux de fret, c'était magouille et compagnie les habitués se réservant les meilleurs lots.

delaruejl a écrit:un ministre je ne sais plus lequel

Ce ne serait pas le très communiste Fitterman pas hasard

Quoi de mieux qu'un communiste pour casser le transport routier, il fallait oser, Mittérrand la fait.

Il y a quarante ans le chauffeur ressemblait, un peu a cette image dans l' esprit populaire, mais en réalité le chauffeur de l'époque devait être tout sauf l'image populaire, il devait trouver le temps de vivre avec son travail et sa vie dite privée, n'était faite que de départs le dimanche, et des arrivées le samedi.

Et encore s'il pouvait rentrer.

L'évolution du travail ne c'est pas fait à l'avantage du chauffeur bien au contraire, les salaires ont périclités, au point que grâce au RMPG, certaine catégorie de conducteurs étaient payés sous le SMIG, merci les syndicats.

De plus les frais de routes sont interprétés par les employeurs au point que certaines tranches de 24 heures font d'après les calculs 48 heures, et les chauffeurs ne disent rien, pourquoi??

Le travail ne manque pas bien au contraire, il manque des chauffeurs dans toute l'Europe, il n'est pas un pays qui n'est pas touché par le manque de personnels qualifiés.

Il y a peu tous les chauffeurs craignaient les chauffeurs des pays de l'est, pourtant ils font du bien à la profession.

Actuellement une grosse Ste Hollandaise, vient de faire un virage à 180° grâce aux conducteurs Polonais, son nom VOS. Vouloir sous-payer des conducteurs de n'importe quel pays n'a qu'un temps, et celui-la fut très court, car à l'inverse de certains conducteurs de l'Europe, eux n'ont pas fait dans le sentiment, il se sont servis sur la bête, sur le gasoil, sur les pneus, sur la mécanique, enfin sur tous ce qui pouvait leur rapporter quelques €uros.

Je même eu connaissance d'un transporteur français qui arrivant dans sa cour, le lundi matin, fut surpris de voir des camions encore présent sur le parc alors qu'ils devaient être sur la route depuis la veille au soir. Les chauffeurs polonais attendaient tranquillement le patron et lorsque celui-ce leur demanda pourquoi ils n'étaient pas partis, il lui fut répondu qu'ils partiraient lorsqu'ils seraient payés au tarif français.

Je ne connais qu'une partie de la fin de l'histoire, les promesses faites par l'employeur, mais a-t-il tenu parole, je ne sais pas.

C'est un exemple, très significatif, et nous les conducteurs français prenons cet exemple, et surtout ne l'oublions pas.

delaruejl a écrit:Mauvaise nouvelle 400 transporteurs déposent le bilan pourquoi??

Hummmm, je peux te donner une explication, particielle certes, mais qui a mon avis sera une partie de la réponse...

D' abord et cette situation n'est uniquement réservée au transport, est que tout le monde veut tout pour rien et si possible avant de l' avoir commandé, du coup tout le monde calcul au cent près et les marges de manoeuvres ou bénéficaires se réduisent de plus en plus d' ou l'importance de bien connaitre ses cout d'exploitation.

En suite il ya ceux qui tombe dans le transport par accident, en héritant d'une compagnie et souvent foutent par terre en quelques mois le travail de ceux qui ont mis une ou plusieurs génération pour crée une compagnie rentable et renomée ( j ai vecu 2x le cas).

D'autre part, et la j'en viens au transporteurs passionner, les chiffres que tu cite " 400 entreprises de transport ..." vis a vis des statistiques, une entreprise va de l'independant au grosses boites, et sur les 400 je serai quand même curieuxde savoir combien d' entreprise on voler par terre dans les 3 premières années.

Je m'explique, en théorie pour crée une entreprise de transport, il faut avoir " la capacité professionnel" qui est le diplome de transporteur, pour avoir suivit ce court tt les samedi pendant un ans je te garanti que ce n'est pas de la tarte.
Alors comme ce cour est long, couteux et qu'il y a d' autre possibilité légale, pas mal d' artisants débutant choissent de loué cette capacité, ce qui leur coutent en moyenne 250 a 300 euro par mois pour qu'une tierce personne " gère " la petite entreprise...
Et en parlant de gestion nous arrivons a l' achat du camion, les possibilité sont nombreuses entre les différentes formules de leasing, renting ou achat a credit, avec ou sans contrat d'entretien, avec ou sans options d' assurance, de taxe ect... comprisent dans le payement mensuel, mais la seule chose que toutes ses formules de financement on en commun, c'est qu' elles sont toutes aussi simple a signer, et ce que l' on commande un Premuim ou un stralis bon marcher ou un scania top line full options avec des chromes et tout et tout.

La diffrenec vient après, lors qu'il faut payé a la fin du mois et que les Quelques centaines d' euro de financement de chrome font une différence ...
Lors de la signature du contrat de financement, le chauffeur artisant est souvent un chauffeur ouvrier qui ayant marre de rouler en prémium s'empresse d' aller signier le contrat qui va lui donner le camion de ses reves, et du coup il se mets la corde aux vis a vis du banquier, mais en plus se fait prendre par les co**lles vis a vis du client, ce dernier qui sera souvent un gros transporteur qui refillera les m**** a notre chauffeur frimeur independant.

La première année notre chauffeur frimeur, sera euphorique, content de montré son camion de patron un peu partout, la deuxieme année, certain frai vont commencer, remplacement des premiers pneus, bilan de l' année précédente ou il se rendra compte de ce qu'il a vraiment gagner ..., la fatigue se fera tt doucement sentir...

La troisième année, ils recevra les premiers impot de travailleurs indépendant, son beau scania aura 250 000 km au moins ett probablement plus, depuis deja un moment notre chauffeur frimeur accepte un peu n'importe quoi comme travail pour payé, payé payé et encore payé...
Puis pas de chance le ministère vient controlé ses disques au bureau de sa compagnie, qui bien souvent est son salon, ou le nouvel ecran plasma, décor le mur du salon avec le nouvel ordi qui a en fond d'ecran un montage photographique, du beau scania full chrome et de la nouvelle BM avec les jantes de 19"...

Et la le contrôleur trouve des annomalies et décide de saisir les disques de l' année precendent pour tt etudier au calme au ministère, et pour l' aider dans ce travail long et minutieux il demande a un pot surnommé controleur des impot de lui donner un coup de main, ce dernier conciencieux, vient avce quelques outils de réference, comme la déclaration de notre chauffeur frimeur artisant et a eux deux ils épluchent minuieusement les dossiers.

Après quelques jours le controleur du ministère et son pote des impots convoque notre chauffeur et lui demande comment il fait pour payé un scania de 125000 euro, et une BM de 55000 euro, ett lui font remarque que l'ecran plasma n'entre pas dans les frais généraux, et que les vetements de sa femme ne sont pas des vetements de travail, mais aussi que les souche de resto avec madame et les amis ne sont pas pris en compte comme frais de reprsentation et que suivant les echelles préétablie par le ministère des finances sont niveau de vie est supérieur a ce qu'il déclare et que un réajustement va avoir lieu.

Le controleur du ministere des transports quand a lui, par de savant calcul peu démontré que notre chauffeur frimeur roulent plus que ce que les disques racontent, et en déduit qu'il ya tricherie, faux et usage de faux , mais aussi des infractions sur les temps de conduite et forcement de repos, ect... et dresse un PV.

Notre chauffeur frimeur indépendant, rentre chez lui avec des payement supllémentaires non prévu et surtout non déductible, et du coup doit choisir en payé sont scania, sa bm, ou les impots et autres PV, et a la fin de la 3e années il dépose le bilan, et se déclare en faillite.

Le chauffeur indépendant discret, tellement discret que je n' en ai pas parler, a pendant cette meme période acheté sont stralis a 83000 euro, et son controle du ministère a pris quelques heures chez lui, le controleur fiscal n a pas du apporter son aide et note chauffeur discret ne repaye pas trop d'impot, et avec un peu de chance il en retouchera meme un peu ...

A la fin de troisiéme année, il commande un nouveau stralis, et gardera son ancien stralis, engagera le chauffeurs frimeur qui pour payé ses dettes roulera dans un vieu stralis de 500 milles Km, (a ce nouveau stralis qu'il regardait avec mepris du haut dans son beau scania il y a 3ans), ce dernier lui fera gagner encore un peu d' argent, ce qui va lui permettre de se faire un peu plaisir en s'offrant une BM d' occazzz qu'il aura eu a bon prix chez le currateur charger de la liquidation des bien du chauffeur frimeur