Les pauvres routiers que nous sommes.

Trop souvent, les routiers se plaignaient de leurs conditions de travail, quand il y avait du travail.

Trop souvent, les routiers se plaignent des conditions de travail d'aujourd'hui, lorsqu'ils ont du travail.

Un choix dans le métier que nous avons souvent aimé, mais qui aujourd'hui ce solde par des échecs personnels pour certains.

Je n'entend plus les fiers à bras, revenir sur le devant de la scène de ce monde de la route, pourquoi sont-ils devenus frileux?

Je n'entend plus les hommes de la route revenir, sur un monde qui n'existe que dans le souvenir.

Mais et demain de quoi sera fait demain, ce que je constate c'est qu'il ne faut pas se poser de question. Car sinon la peur de demain apparait aussitôt.

Des personnes bien pensantes bénéficient d'avantages, pour le moins surprenant, et ces personnes viennent nous donner leurs avis sur la vision de leur monde, alors qu'elles deviennent elles mêmes des charges indirectes pour la société dont chacun de nous fait partie. Car la forme de vie actuelle est surtout une forme de vie ou l'égoïsme est devenu un force de vie.

Et de chacun de tirer sur son voisin, ou même sur sa famille pour ce faire valoir, le monde de la route n'échappe pas à ces évidences, ce n'est pas de la fautes des "étrangers" si ils viennent rouler sur nos route. Mais le notre car nous sommes surtout devenus des ombres sur les routes, le nuit les camions ce transforment en "son et lumière" mais la femme ou l'homme qui est au volent doit surtout rester dans l'ombre, car lui la seule pensée qu'il a est de rentrer au plus vite chez lui afin de terminer sa journée de fonctionnaire de l'autoroute.

tu sais JLs'est pas bien gentil de dire que nos colégues du ruban bleue sont des fonctionnaires,et qu'il sont pressé de rentré chers eu ,il sont bien obliger,puisque il nom pas la chanse que nous avons eu de partir pour qinze a deux moi suivent les voyages et les emmerdes imprévue,mai cela ne plaisais pas nom plus a tout le monde,tu vois plus je lis sur d'autre site la semaine d'une Femme et de colégues du cercau,et bien cela me rappelle pourquoi je ne suis pas rester a faire que de la France,en plus on avaient pas tout ses repos obligatoire ,et il faut qu'il fasse le méme travaille en respectant les repos la vitesse et tout le saint frusquin,nom moi je tire mon chapeau et je ne pourrais pas faire se qu'il font maitenant,
tu s'est trés bien que l'on ne peut pas faire se que l'on veut maitenant et il faut penser qu'il on des familles a nourrire comme nous a notre époque,sauf que quand un tolier te les gonflaient je lui tenkais son piege en rfa ou en italie et je rentais en stop avec des potes mai il y avais du boulot a cette époque et la semaine d'aprés tu repartais pour une autre boite et sa il ne peuve plus le faire et j'en ais gros pour eu.
alors il faut se metre a leur plase je vois qu'il on pas le moral mai que faire,nous avons rien put faire a notre époque sinon finir a l'hopital dans mon qua pour certaine greves et se faire piquer son permis et personne vient voir si tu peu donner a manger a tes gonnes alors que veut tu qu'il fasse maintenant que l'on et dans une merde pas possible et que le métier n'a jamais éte reconnue,regarde se que l'on touche a la retraite mille deux cent euros pour plus de trois millons de kilometre a la fin de ta vie de bohémien
alor qu'il prenne soint deux ,ilseront pas mieus vue en arrivant a la retraite pour seus qui von y arriver .
Amitier Denis.

Je suis parfois pessimiste, mais aussi parfois réaliste, nous aussi nous avions une vie de famille, parfois il est vrai que certain dont je fais surement partis ont mis des coup de canif au contrat de mariage.

Mais nous savions toujours dire merde à un patron, et nous le savons toujours, nous n'étions pas seulement des fiers à bras devant la "tomate" du bistrot, nous savions nous faire entendre.

Nous avions il est vrai la fibre du métier, mais nous avions aussi une connaissance qui manque à bien des conductrices/conducteurs, qui ne savent même plus être des "artistes" comme le prétendait un certain Max Menier.

de toute facon, le monde change! il evolue, pas toujours dans le bon sens, cela depend de quel coté on le regarde! on y peut plus grand chose, de toute facon, c'est le monde du fric qui gere tout, il faut s'adapter, et survivre, on ne reviendra jamais en arriere, sauf dans notre tete et nos souvenirs!

comme les gestionnaires du monde, on se dit chacun pour soi et pour son porte monnaie, de toute facon, ils le font, et si on veut survivre, il faut faire comme eux!

cela n'empeche pas de se reserver notre petit coin perso entre amis , ou l'on se rappelle les bons vieux souvenirs, (ceux que l' on ne voudrait certainement pas revivre , par les conditions actuelles)

tu a l'aire de dire Papy16 que s'est de la faute de mec comme moi qui tankai le véhicule a l'étranger et qui partais avec le pogon de la boite, j'en ais connue moi aussi des conards et voleurs et sa egxiste toujour, mai il faut déffois etre dans le contexte de sertaine petite boite ou s'est le contraire ,s'est moi qui avancait le pognon pour mes frais de route et quand tu arrivais dans une DKW on te refusais de faire le plain,alors tu perdais du temps en attendant un autre chauffeur qui taporte de l'argent et tu restais trois a quatre jours sur place a attendre,il te fallait presque qinze jours pour faire un tour sur Vienne en Autriche.
tu s'ais des boites merdique ,a cette époque il y en avaient plus que l'on crois et des chauffeurs branquignole il ne faisait pas l'on feux dans le métier.
a l'age de 9 ans le jeudi je n 'étoillais les piesses moteur et autre au tryclofluaurobenzen il y a bien longtemp que se produit et interdit ,alors tu sais le metier je connais a fond,
trouve moi un jeune qui changera un embreillage sur un parging dans la neige,ou alors charger un autre véhicule sur un autre dans le desert tout le démonter mettre en plateaux découpé le tablier de la semie pour passer sous les ponts, part contre j'en ais vue foutre le feu au véhicule prendre des photos de leur pieges en feu sans méme souver la semie, sa pour moi se sont de vraient guignol.
Amitiés Denis

bonjour Papy16
je ne vois pas pourquoi tu te sans viser quand je parle de branleur qui foutait le feu a leur véhicule dans le desert,petit un je ne te connais pas, et deuxio du dit que je suis mal renseigner,je le suis bien puique se chauffeur Belge d'une boite Belge,j'ai dut le rapatrillé jusqu'a Istambul ou il a prit l'avion pour rentré dans sont pays,et je n'est jamais avansé des choses qui ne son pas passer.
pour le jeudi toi tu allais a l'école,sa métonerais bien puisque a cette époque personne allaient a lécole le jeudi ,part contre je suiscomme toi et beaucoup de notre générations j'ais passér mes permis a 21 ans,mai comme mon pére avait des camions,alors j'ai commencer de bonheur a avoir les mains pleine de cambouis,et cela ma pas empécher de faire autre chose dans ma jeunese,puisque j'ai eté coureur cycliste premiere catégorie espoire du Lyonnais en soixante sept,présselcioné sur piste pour les jeux de Mecsico,et je devais passer professionel,et j'ais tout envoyer baladé parsque sa se choutais déja pas mal.
et pour les jeunes de maitenant,je suis tout a fait d'acord avec toi ,il n'on pas le moral tout les jours quand tu vois ,comme le trvaille a bien changer,et qu'il doive respecter toute ses lois,ou il ne peuve plus rouler,il y a eut telement d'abus a notre époque sa s'est sur mai s'est pas la faute nom plus de tout les anciens,puisque nous aussi on devait respecté les lois en france et encore plus a l'étranger.
bonne journé a toi Papy16
Denis

je vais etre bref
(petit un) je ne me serait jamais permit de traité quelqun de petit, relie la phrase,pour quelqu'un qui allait a l'école le jeudi,au faite si tu y va part la moi aussi j'allais au catéchisme le jeudi j'ais jamais apeller sa aller a l'école,et deux ans cher les fréres