par A n'en point douter une révolution est en route, car il n'est pas de coutume des ministres de parler du transport routier, ils parlent très souvent du rail, voir du maritime, mais encore de l'avion mais de la route très peu. car c'est un domaine qui aux yeux de beaucoup de monde est un domaine d'insécurité.
Que les statistiques disent que les chauffeurs routiers soient des gens sérieux et aussitôt des automobilistes viennent dire que les routiers sont dangereux, et comme ils sont beaucoup plus nombreux ils ont de par le nombre, raisons.
Mais qu'un conducteur, tue deux personnes sur le bord d'une route des vacances, cela ne fait pas la une des journaux télévisés, mais si cela avait été fait par un routier aussitôt, une volée de bois vert aurait fouetté les routiers dans l'ensemble de la corporation.
Pourtant le ministre actuel du transport, à clairement dit que si les transporteurs routiers devaient mettre fin à leurs bons offices c'est tous les pays industrialisés que en souffriraient au point de de devenir des pays sous développés.
Merci à lui de rappeler les bons offices de ce monde tant décrié, merci à lui de reconnaître qu'une profession soit le sang d'un pays, merci à lui enfin de reconnaître que nous sommes indispensables quoique que pense les bon samaritains de la pensée universelle de la connerie des automobilistes.
Que les statistiques disent que les chauffeurs routiers soient des gens sérieux et aussitôt des automobilistes viennent dire que les routiers sont dangereux, et comme ils sont beaucoup plus nombreux ils ont de par le nombre, raisons.
Mais qu'un conducteur, tue deux personnes sur le bord d'une route des vacances, cela ne fait pas la une des journaux télévisés, mais si cela avait été fait par un routier aussitôt, une volée de bois vert aurait fouetté les routiers dans l'ensemble de la corporation.
Pourtant le ministre actuel du transport, à clairement dit que si les transporteurs routiers devaient mettre fin à leurs bons offices c'est tous les pays industrialisés que en souffriraient au point de de devenir des pays sous développés.
Merci à lui de rappeler les bons offices de ce monde tant décrié, merci à lui de reconnaître qu'une profession soit le sang d'un pays, merci à lui enfin de reconnaître que nous sommes indispensables quoique que pense les bon samaritains de la pensée universelle de la connerie des automobilistes.
