Le 13/12/2009, les organisations syndicales ont décidé de faire grève, pourtant la ou je bosse, les conducteurs ne ce sentent pas concernés dommage, car ils sont concernés.
Le motif de la grève, une revendication salariale qui veut une augmentation de 4%.
Mais les organisations auraient pus faire mieux et demander une augmentation plus substantielle, par exemple 10€ de l'heure pour le 150M, et le même pourcentage pour le 138 et le 128, mais pour ne pas froisser les employeurs ils préfèrent demander petit.
La grève consistera a bloquer les grandes plateformes de distributions. Et cela sans l'apport des camions, car les employeurs verraient d'un très mauvais regard le fait que les camions deviennent des armes contre eux.
Donc des manifestations et des blocages pédestres.
Ce qui risque de démotiver les conducteurs car très peu sont syndiqués, et cela est un fait. Et de vouloir ce battre pour une obédience n'est pas forcément du gout de la plupart des chauffeurs qui ne se reconnaissent pas dans les organisations.
Et pourtant sans eux les grévistes auront du mal à faire passer le mouvement, car un autre phénomène rentre en jeu, la peur de demain, car la crise que nous traversons est sans aucun doute un motif de crainte. Même si les indices de reprise dans le transport sont tous aux feux verts, le conducteurs lui continue à craidre.
Le motif de la grève, une revendication salariale qui veut une augmentation de 4%.
Mais les organisations auraient pus faire mieux et demander une augmentation plus substantielle, par exemple 10€ de l'heure pour le 150M, et le même pourcentage pour le 138 et le 128, mais pour ne pas froisser les employeurs ils préfèrent demander petit.
La grève consistera a bloquer les grandes plateformes de distributions. Et cela sans l'apport des camions, car les employeurs verraient d'un très mauvais regard le fait que les camions deviennent des armes contre eux.
Donc des manifestations et des blocages pédestres.
Ce qui risque de démotiver les conducteurs car très peu sont syndiqués, et cela est un fait. Et de vouloir ce battre pour une obédience n'est pas forcément du gout de la plupart des chauffeurs qui ne se reconnaissent pas dans les organisations.
Et pourtant sans eux les grévistes auront du mal à faire passer le mouvement, car un autre phénomène rentre en jeu, la peur de demain, car la crise que nous traversons est sans aucun doute un motif de crainte. Même si les indices de reprise dans le transport sont tous aux feux verts, le conducteurs lui continue à craidre.