Souvent je me pose des questions, du style, qu'est-ce qu'est devenu le métier de routier.
Et je n'ai pas de réponses, ou plutôt j'ai beaucoup de réponse.
En revenant quelques années en arrière, j'ai pu définir le métier de routier, comme celui d'homme qui aimait la solitude, car ce métier est un métier de solitude. Mais aussi comme un métier ou des femmes et des hommes connaissaient la valeur de leur profession.
En fait je faisais une erreur, le métier est avant tout fait par des invidualistes, de chacun d'avoir une vision de son métier, de chacun d'avoir un regard sur son voisin, de chacun de jalouser celui qui a un camion différent voir plus puissant, de chacun de prétendre qu'il est le meilleur dans le domaine qu'il exerce.
De chacun de faire croire, qu'il fait force de loi chez son employeur, on peut rêver.
Certains conducteurs finissent par n'être que des hommes ou des femmes qui veulent ce faire entendre mais qui n'ont plus de voix.
Je connais certains chauffeurs qui sont sérieux dans leur travail, mais qui désespèrent de n'être qu'un numéro au volant de leur piège.
Ils deviennent par la force de leurs isolement des zombies de la route. Alors ils rêvent qu'ailleurs, il y a d'autres façons de vivre, Forcément ils ont raisons, car leurs rêvent ne veux pas voir certains à coté.
Certains pensent que le Canada est la panacée, c'est probable, mais la encore des protections sont misent en place par les autochtones qui voient arriver d'uns très mauvais regard ces étrangers qui veulent eux aussi (croient-ils) se faire une place au soleil du gain.
La misère de ce monde réside dans le regard que chacun pose sur la misère de l'autre.
Il y a toujours plus malade que soi, il y a toujours plus riche que soi, il y a toujours des hommes ou des femmes qui savent tirer profit de la misère des autres.
Mais pour finir il n'y a qu'une place pour chacun et c'est toujours la même.
Certaines personnes vivent sur le dos de la société en prétendant qu'ils sont plus malades que d'autres, d'autres parfois font des séjours en prison, parce qu'ils se croyaient plus fort que les autres, d'autres enfin deviennent des ombres de cette même société.
Mais chacun devrait un peu se regarder dans le miroir d'un pare brise propre, et se demander qui les autorise à prendre et à rendre des jugements péremptoire sous le simple prétexte qu'ils n'ont et n'auront surement jamais rien d'autre à faire que de porter des jugements sur les autres et cela sans connaître les tenants et les aboutissants des personnes incriminées.
Le métier de routier est aujourd'hui galvaudé par des conducteurs qui pensent (parfois avec raisons) avoir raisons sur tous les plans, je n'en veux que pour preuve les journaux spécialisés qui sont surtout des miroirs de la connerie des personnes qui les lise.
Et cela est vrai dans tout les domaines, les nantis qui détiennent les rênes du pouvoir sont heureux, car pendant le temps que les personnes prennent à se déchirer, ils continuent eux à faire ce que bon leurs semble.
Le patron continue à expliquer ses lois sachant par avance que le temps que le chauffeur vérifie le camion aura fait quelques milliers de kilomètres. Et les dirigeants ont un mot d'ordre général "diviser pour mieux asservir" parfois cela va même plus loin dans leurs raisonnements, "donner des avantages à certains" pour obliger les autres à vouloir ces avantages.
Mais cela s'appel de la politique.
Et je n'ai pas de réponses, ou plutôt j'ai beaucoup de réponse.
En revenant quelques années en arrière, j'ai pu définir le métier de routier, comme celui d'homme qui aimait la solitude, car ce métier est un métier de solitude. Mais aussi comme un métier ou des femmes et des hommes connaissaient la valeur de leur profession.
En fait je faisais une erreur, le métier est avant tout fait par des invidualistes, de chacun d'avoir une vision de son métier, de chacun d'avoir un regard sur son voisin, de chacun de jalouser celui qui a un camion différent voir plus puissant, de chacun de prétendre qu'il est le meilleur dans le domaine qu'il exerce.
De chacun de faire croire, qu'il fait force de loi chez son employeur, on peut rêver.
Certains conducteurs finissent par n'être que des hommes ou des femmes qui veulent ce faire entendre mais qui n'ont plus de voix.
Je connais certains chauffeurs qui sont sérieux dans leur travail, mais qui désespèrent de n'être qu'un numéro au volant de leur piège.
Ils deviennent par la force de leurs isolement des zombies de la route. Alors ils rêvent qu'ailleurs, il y a d'autres façons de vivre, Forcément ils ont raisons, car leurs rêvent ne veux pas voir certains à coté.
Certains pensent que le Canada est la panacée, c'est probable, mais la encore des protections sont misent en place par les autochtones qui voient arriver d'uns très mauvais regard ces étrangers qui veulent eux aussi (croient-ils) se faire une place au soleil du gain.
La misère de ce monde réside dans le regard que chacun pose sur la misère de l'autre.
Il y a toujours plus malade que soi, il y a toujours plus riche que soi, il y a toujours des hommes ou des femmes qui savent tirer profit de la misère des autres.
Mais pour finir il n'y a qu'une place pour chacun et c'est toujours la même.
Certaines personnes vivent sur le dos de la société en prétendant qu'ils sont plus malades que d'autres, d'autres parfois font des séjours en prison, parce qu'ils se croyaient plus fort que les autres, d'autres enfin deviennent des ombres de cette même société.
Mais chacun devrait un peu se regarder dans le miroir d'un pare brise propre, et se demander qui les autorise à prendre et à rendre des jugements péremptoire sous le simple prétexte qu'ils n'ont et n'auront surement jamais rien d'autre à faire que de porter des jugements sur les autres et cela sans connaître les tenants et les aboutissants des personnes incriminées.
Le métier de routier est aujourd'hui galvaudé par des conducteurs qui pensent (parfois avec raisons) avoir raisons sur tous les plans, je n'en veux que pour preuve les journaux spécialisés qui sont surtout des miroirs de la connerie des personnes qui les lise.
Et cela est vrai dans tout les domaines, les nantis qui détiennent les rênes du pouvoir sont heureux, car pendant le temps que les personnes prennent à se déchirer, ils continuent eux à faire ce que bon leurs semble.
Le patron continue à expliquer ses lois sachant par avance que le temps que le chauffeur vérifie le camion aura fait quelques milliers de kilomètres. Et les dirigeants ont un mot d'ordre général "diviser pour mieux asservir" parfois cela va même plus loin dans leurs raisonnements, "donner des avantages à certains" pour obliger les autres à vouloir ces avantages.
Mais cela s'appel de la politique.