J'entends de ci de la des conducteurs routiers, parler du métier qu'ils excercent, celui de chauffeur livreur, et d'aucun ne fait le distingo, le "moi-je" connais les lois et les applique à la lettre me fait doucement sourire.
Dans le métier de conductrice ou conducteur routier il y a des obligations et de cela je ne peux le nier, mais quand des "routiers" inventent des textes qui n'existent pas et qui vont à l'encontre de la profession, je ne peux que dire, qu'ils devraient être patrons et non conducteurs. Et ces énergumènes précisent même des textes qui sortent tout droit de leurs imaginations.
Parfois dans le domaine du transport frigorifique, j'ai été amené à décharger une partie de mon camion, et même la totalité chez ED à la Plaine St Denis 95, mais le contrat d'affrêtement que j'avais passé avec la SATAR à Perpignan me le spécifiait et était ecrit noir sur blanc.
Depuis je n'ai jamais déchargé ma semi, mais je donnais la main quand certaines palettes étaient en désiquilibre, et si je ne déchargeais pas c'est que je n'étais pas chauffeur livreur.
D'ailleurs un exemple tout simple et tout bête, avez vous entendu dire qu'un camion de méssagerie était déchargé ou chargé par les conducteurs, non, mis à part quelques demeurés qui pour ce faire valoir et partir plutôt le faisaient, j'en connais un son prénom Jean Michel. Mais en règle générale nous ne devions même pas nous trouver sur les quais, aujourd'hui je travaille pour la poste, et je n'ai pas le droit de toucher un colissimo.
Baraquin lui travaillait dans le verre, il transportait des feuilles de verre, je crois et j'en suis sur que si on lui avait demandé de décharger ses feuilles elles auraient surement été déchargée en vrac.
Des exemples comme cela le transport en regorge, mais le plus terrible, c'est que les ignares des lois, ou de leurs compréhensions sont de "source sure" certain qu'un conducteur doit décharger son camion.
Et cela est faut les règles en ce domaine sont très strictes et sont dans la convention collective des transports nationnaux et internationnaux.
Maintenant les bases de réception, des grandes surfaces, ne font qu'entériner un état de fait, car un conducteur un jour pour aller plus vite que les autres a déchargé sa semi ou son camion, puis un autre et encore un autre et pour finir c'est devenue une obligation.
Rappelons tout simplement que ce travail s'appel en langage courant du travail au noir, et en terme légal du travail dissimulé. Car le conducteur qui met son camion à disposition du receptionnaire, doit obligatoirement ce mettre en mise à disposition. Et donc il est payé pendant le déchargement ou le chargement.
Donc je ne vois pas l'intérêt du conducteur de décharger ou de charger son camion, simple question de bon sens, et donc le seul qui a intérêt à ce que le conducteur décharge le camion ou le charge c'est l'expéditeur ou le receptionnaire.
De plus vous devriez savoir que sur un quai, vous n'êtes pas couvert par la sécurité sociale en cas d'accident, car celle-ci considère à juste titre que c'est du travail dissimulé. Et donc en cas d'accident un seul fautif celui qui à accepté.
La solution pour pouvoir décharger ou charger son camion, est que le client vous fasses une fiche de salaire et donc de ce fait vous déclare socialement à l'URSSAF.
Sur une base Intermarché, j'ai fait l'idiot du village, je remontais en palettes de vin de l'Aude 33 palettes.
Le receptionniste, me dit ou je devais mettre les palettes de plus je devais les alignés de façon a ce que les étiquettes soient visibles, je n'ai rien dit je suis retourné à ma cabine, j'ai pris l'appareil photographique, et sur le quai j'ai fait plusieurs clichés de mon chargement, puis j'ai pris le transpalette électrique, j'ai sortis de ma semi la première palette, et sur le quai j'ai pris un virage très sérré, et comme j'avais pris la palette dans le sens de la longueur elle ce coucha, j'ai bien aimé le bruit des bouteilles, le bonhomme est venu en courant, et m'a demandé si j'étais con, devant mon affirmation, il me demanda de continuer et qu'il mettrait des réserves sur le GPR, la deuxième palette à subi le même sort, et il a fini par comprendre, il a déchargé la semi, il a rangé les palettes comme il voulait, et au moment de signer le GPR, je lui est montré les photos polaroïd, et je lui ai demandé de les joindre à son volet de GPR, je ne suis jamais retourné en sec dans cette base, mais je n'ai jamais eu de réserves.
C'est un exemple à ne pas suivre car vous rsiqueriez votre emploi, mais pour ma part je ne courrais pas ce risque c'était mon ensemble.
Dans le métier de conductrice ou conducteur routier il y a des obligations et de cela je ne peux le nier, mais quand des "routiers" inventent des textes qui n'existent pas et qui vont à l'encontre de la profession, je ne peux que dire, qu'ils devraient être patrons et non conducteurs. Et ces énergumènes précisent même des textes qui sortent tout droit de leurs imaginations.
Parfois dans le domaine du transport frigorifique, j'ai été amené à décharger une partie de mon camion, et même la totalité chez ED à la Plaine St Denis 95, mais le contrat d'affrêtement que j'avais passé avec la SATAR à Perpignan me le spécifiait et était ecrit noir sur blanc.
Depuis je n'ai jamais déchargé ma semi, mais je donnais la main quand certaines palettes étaient en désiquilibre, et si je ne déchargeais pas c'est que je n'étais pas chauffeur livreur.
D'ailleurs un exemple tout simple et tout bête, avez vous entendu dire qu'un camion de méssagerie était déchargé ou chargé par les conducteurs, non, mis à part quelques demeurés qui pour ce faire valoir et partir plutôt le faisaient, j'en connais un son prénom Jean Michel. Mais en règle générale nous ne devions même pas nous trouver sur les quais, aujourd'hui je travaille pour la poste, et je n'ai pas le droit de toucher un colissimo.
Baraquin lui travaillait dans le verre, il transportait des feuilles de verre, je crois et j'en suis sur que si on lui avait demandé de décharger ses feuilles elles auraient surement été déchargée en vrac.
Des exemples comme cela le transport en regorge, mais le plus terrible, c'est que les ignares des lois, ou de leurs compréhensions sont de "source sure" certain qu'un conducteur doit décharger son camion.
Et cela est faut les règles en ce domaine sont très strictes et sont dans la convention collective des transports nationnaux et internationnaux.
Maintenant les bases de réception, des grandes surfaces, ne font qu'entériner un état de fait, car un conducteur un jour pour aller plus vite que les autres a déchargé sa semi ou son camion, puis un autre et encore un autre et pour finir c'est devenue une obligation.
Rappelons tout simplement que ce travail s'appel en langage courant du travail au noir, et en terme légal du travail dissimulé. Car le conducteur qui met son camion à disposition du receptionnaire, doit obligatoirement ce mettre en mise à disposition. Et donc il est payé pendant le déchargement ou le chargement.
Donc je ne vois pas l'intérêt du conducteur de décharger ou de charger son camion, simple question de bon sens, et donc le seul qui a intérêt à ce que le conducteur décharge le camion ou le charge c'est l'expéditeur ou le receptionnaire.
De plus vous devriez savoir que sur un quai, vous n'êtes pas couvert par la sécurité sociale en cas d'accident, car celle-ci considère à juste titre que c'est du travail dissimulé. Et donc en cas d'accident un seul fautif celui qui à accepté.
La solution pour pouvoir décharger ou charger son camion, est que le client vous fasses une fiche de salaire et donc de ce fait vous déclare socialement à l'URSSAF.
Sur une base Intermarché, j'ai fait l'idiot du village, je remontais en palettes de vin de l'Aude 33 palettes.
Le receptionniste, me dit ou je devais mettre les palettes de plus je devais les alignés de façon a ce que les étiquettes soient visibles, je n'ai rien dit je suis retourné à ma cabine, j'ai pris l'appareil photographique, et sur le quai j'ai fait plusieurs clichés de mon chargement, puis j'ai pris le transpalette électrique, j'ai sortis de ma semi la première palette, et sur le quai j'ai pris un virage très sérré, et comme j'avais pris la palette dans le sens de la longueur elle ce coucha, j'ai bien aimé le bruit des bouteilles, le bonhomme est venu en courant, et m'a demandé si j'étais con, devant mon affirmation, il me demanda de continuer et qu'il mettrait des réserves sur le GPR, la deuxième palette à subi le même sort, et il a fini par comprendre, il a déchargé la semi, il a rangé les palettes comme il voulait, et au moment de signer le GPR, je lui est montré les photos polaroïd, et je lui ai demandé de les joindre à son volet de GPR, je ne suis jamais retourné en sec dans cette base, mais je n'ai jamais eu de réserves.
C'est un exemple à ne pas suivre car vous rsiqueriez votre emploi, mais pour ma part je ne courrais pas ce risque c'était mon ensemble.