Hier j' ai rencontré un chauffeur de ma connaissance, qui avait subi un controle routier au péages de Vienne, d'un nouveau genre.
Le controle a duré 3 heures 30.
Il y avait la DRE, la Gendarmerie, la Douane, et surprise pour lui, un fourgon médical.
Après le controle des papiers, il a eu le droit, à un prélèvement de salive pour analyse immédiate.
L'analyse, ayant été fait, et le résultat n'étant pas probant au regard des services présents, il a du faire une analyse d'urine, pour affiner le premier résultat, il était bon pour la route.
Mais que ce passe-t-il dans le cas contraire??
Premièrement, le conducteur ne peut repartir avec le véhicule, donc il doit prévenir son employeur, qu'il lui est impossible de continuer sa route, et l'employeur doit fournir un autre conducteur.
Deuxiement, le conducteur est soumis a des examens plus profond. Et si ceux-la sont positifs, le conducteur, est l'objet d'une suspension de permis de conduire, en attente de jugement pour conduite, soit en état d'ivresse, soit sous l'emprise de produits supéfiants.
Et le résultat est le même, il peut voir son permis disparaître pour une durée pouvant aller d'un à cinq ans avec l'obligation de repasser le permis de conduire.
L'employeur, lui peut licencier son personnel roulant, pour faute lourde, ce qui veut dire en clair pas de possibilité de toucher les ASSEDIC. Car en cas de licenciement pour faute lourde il n'y a pas de possibilités pour avoir le droit aux indémnités de chomage.
Voila pour les contrôles qui vont devenir de plus en plus fréquents, pour preuve un deuxième véhicule médical est en fonction parfois au péage de St Arnould sur l'autoroute A10.
De plus et pour arranger les choses, le conducteur qui est contrôlé positif ne peut plus conduire son véhicule personnel.
Le controle a duré 3 heures 30.
Il y avait la DRE, la Gendarmerie, la Douane, et surprise pour lui, un fourgon médical.
Après le controle des papiers, il a eu le droit, à un prélèvement de salive pour analyse immédiate.
L'analyse, ayant été fait, et le résultat n'étant pas probant au regard des services présents, il a du faire une analyse d'urine, pour affiner le premier résultat, il était bon pour la route.
Mais que ce passe-t-il dans le cas contraire??
Premièrement, le conducteur ne peut repartir avec le véhicule, donc il doit prévenir son employeur, qu'il lui est impossible de continuer sa route, et l'employeur doit fournir un autre conducteur.
Deuxiement, le conducteur est soumis a des examens plus profond. Et si ceux-la sont positifs, le conducteur, est l'objet d'une suspension de permis de conduire, en attente de jugement pour conduite, soit en état d'ivresse, soit sous l'emprise de produits supéfiants.
Et le résultat est le même, il peut voir son permis disparaître pour une durée pouvant aller d'un à cinq ans avec l'obligation de repasser le permis de conduire.
L'employeur, lui peut licencier son personnel roulant, pour faute lourde, ce qui veut dire en clair pas de possibilité de toucher les ASSEDIC. Car en cas de licenciement pour faute lourde il n'y a pas de possibilités pour avoir le droit aux indémnités de chomage.
Voila pour les contrôles qui vont devenir de plus en plus fréquents, pour preuve un deuxième véhicule médical est en fonction parfois au péage de St Arnould sur l'autoroute A10.
De plus et pour arranger les choses, le conducteur qui est contrôlé positif ne peut plus conduire son véhicule personnel.