par Vous avez dit accident de la circulation.
Souvent je me dis qu'il vaudrait mieux parler d'assassinat sur la route, car parfois confier un volant à certains chauffeurs relève de la connerie humaine.
Un soir dans la Ste ou je travaillais, nous avons empêchés de laisser partir quatre conducteurs, qui avaient bu un litre de d'anisette et un litre de Wiskhy.
Nous avons à trois camions empêchés les zigottos de partir, s'en ai suivi un début de bagarre, le résultat: je me suis fait viré comme un malpropre, alors que les chauffeurs eux sont rentrés chez eux mais sont repartis le lendemain une fois dégrisés. Il est vrai que je ne me suis pas fait viré pour cette raison, mais pour un accident.
A choisir entre un chauffeur ivrogne, et un chauffeur qui a eu un accident après 300 000 kilomètres, le choix a été vite fait, de nature je suis devenu un emmmerdeur et je l'assume, un gus bourré est et sera toujours un danger sur la route, mais pour un employeur il est et sera toujours plus malléable qu'un sobre.
Souvent je me dis qu'il vaudrait mieux parler d'assassinat sur la route, car parfois confier un volant à certains chauffeurs relève de la connerie humaine.
Un soir dans la Ste ou je travaillais, nous avons empêchés de laisser partir quatre conducteurs, qui avaient bu un litre de d'anisette et un litre de Wiskhy.
Nous avons à trois camions empêchés les zigottos de partir, s'en ai suivi un début de bagarre, le résultat: je me suis fait viré comme un malpropre, alors que les chauffeurs eux sont rentrés chez eux mais sont repartis le lendemain une fois dégrisés. Il est vrai que je ne me suis pas fait viré pour cette raison, mais pour un accident.
A choisir entre un chauffeur ivrogne, et un chauffeur qui a eu un accident après 300 000 kilomètres, le choix a été vite fait, de nature je suis devenu un emmmerdeur et je l'assume, un gus bourré est et sera toujours un danger sur la route, mais pour un employeur il est et sera toujours plus malléable qu'un sobre.
