Il y a longtemps et pourtant cela me parait être hier, mais les souvenirs sont et resteront au fond de la mémoire de bien des conducteurs. Nous étions heureux de vivre nos routes, de vivre notre camaraderie, de vivre de nos rencontres avec les gens des pays que nous traversions, parfois avec la peur, mais souvent avec la joie d'une mission bien remplie.
Aujourd'hui fi de tout cela, les conducteurs, se cachent derrière des rideaux de cabine, et fond semblant de ne pas voir le camion qui double ou qui se fait doublé, les chauffeurs de la même boutique ont du mal à se reconnaître, car ils ne veulent surtout partager ne serait-ce qu'une camaraderie.
L’égoïsme est telle dans le monde de la route, que chacun essai de piéger son copain, pourquoi, les réponses sont nombreuses, mais il en est une qui me vient à l'esprit, le manque de certitude d'un métier qui pourrait devenir une sinécure.
Aujourd'hui fi de tout cela, les conducteurs, se cachent derrière des rideaux de cabine, et fond semblant de ne pas voir le camion qui double ou qui se fait doublé, les chauffeurs de la même boutique ont du mal à se reconnaître, car ils ne veulent surtout partager ne serait-ce qu'une camaraderie.
L’égoïsme est telle dans le monde de la route, que chacun essai de piéger son copain, pourquoi, les réponses sont nombreuses, mais il en est une qui me vient à l'esprit, le manque de certitude d'un métier qui pourrait devenir une sinécure.