par Hier, des accidents sont survenus, comme sûrement chaque jour, mais comme d'habitude, les reporters, enfin certains, ceux qui ne sont pas sur le théâtre d'une guerre, entre deux pays. Donc les reporters qui essaient de faire vendre du papier, en tapant ou en ne tapant pas sur un une classe sociale, ou sur un métier, et comme nous sommes, nous les conductrices/conducteurs, des empêcheurs de doubler en excès de vitesse.
Nous avons aussi parmi nous des abrutis, mais parfois des accidents surviennent au détour d'une autoroute, voir d'une route, et tout de suite des reporters tirent à boulets rouges, sur une profession par trop représentative du monde du travail, et très visible sur les routes de France ou d'Europe.
Certains reporters font leurs travaux d'écritures en toutes objectivités, et nous les remercions, d'autres ne sont que le pale reflet d'une tendance actuelle, celle de ne n'écrire que le coté négatif, et surtout de remettre une couche de non vérité, pour faire croire qu'ils étaient là sur les lieux de l'accident, alors qu'ils étaient bien au chaud derrière un bureau dans un immeuble. Ils ont seulement repris un texte émis par une agence, et ils ont brodés autour.
Mais ou cela devient grave, c'est et surtout la désinformation qui accompagnent ces textes, de quatre sous.
Mais le plus grave, c'est que cela est lu, par des milliers de gens, et certains d'entres eux sont des personnes, qui ne croient que ce qu'elles lisent, leur intelligence se trouvent dans les pages du journal, qui leur sert de raisonnement.
Et donc aussitôt lues, les nouvelles viennent leurs servir d'alibis pour redevenir, ce qu'ils sont toujours, à savoir des ignorants qui veulent croire qu'ils sont au courant de ce qui ce passe dans le monde.
Et aussitôt ils prennent leurs claviers et viennent insulter une personne, voir une profession, voir une idée, et si ils y pensaient ils s'insulteraient eux mêmes.
Nous sommes pour la liberté d'expression, et nous en usons, et nous sommes heureux de le faire.
Mais nous sommes contre tous les pigistes, qui font du papier, qui ne peut même pas nous servir comme papier WC .
Et nous aimerions emmener tous les pourfendeurs d'une profession, la nôtre, donc nous aimerions les emmener faire un petit tour dans nos cabines, pendant une semaine, afin de leur faire admirer la conduite de tous les abrutis que nous rencontrons plusieurs fois par jours. Mais pour cela il leurs faudrait avoir du courage autre part que la ou la poule à l'oeuf.
Nous avons aussi parmi nous des abrutis, mais parfois des accidents surviennent au détour d'une autoroute, voir d'une route, et tout de suite des reporters tirent à boulets rouges, sur une profession par trop représentative du monde du travail, et très visible sur les routes de France ou d'Europe.
Certains reporters font leurs travaux d'écritures en toutes objectivités, et nous les remercions, d'autres ne sont que le pale reflet d'une tendance actuelle, celle de ne n'écrire que le coté négatif, et surtout de remettre une couche de non vérité, pour faire croire qu'ils étaient là sur les lieux de l'accident, alors qu'ils étaient bien au chaud derrière un bureau dans un immeuble. Ils ont seulement repris un texte émis par une agence, et ils ont brodés autour.
Mais ou cela devient grave, c'est et surtout la désinformation qui accompagnent ces textes, de quatre sous.
Mais le plus grave, c'est que cela est lu, par des milliers de gens, et certains d'entres eux sont des personnes, qui ne croient que ce qu'elles lisent, leur intelligence se trouvent dans les pages du journal, qui leur sert de raisonnement.
Et donc aussitôt lues, les nouvelles viennent leurs servir d'alibis pour redevenir, ce qu'ils sont toujours, à savoir des ignorants qui veulent croire qu'ils sont au courant de ce qui ce passe dans le monde.
Et aussitôt ils prennent leurs claviers et viennent insulter une personne, voir une profession, voir une idée, et si ils y pensaient ils s'insulteraient eux mêmes.
Nous sommes pour la liberté d'expression, et nous en usons, et nous sommes heureux de le faire.
Mais nous sommes contre tous les pigistes, qui font du papier, qui ne peut même pas nous servir comme papier WC .
Et nous aimerions emmener tous les pourfendeurs d'une profession, la nôtre, donc nous aimerions les emmener faire un petit tour dans nos cabines, pendant une semaine, afin de leur faire admirer la conduite de tous les abrutis que nous rencontrons plusieurs fois par jours. Mais pour cela il leurs faudrait avoir du courage autre part que la ou la poule à l'oeuf.
