La formation ou plutôt la malformation, des conductrices et des conducteurs routiers me laisse pantois.
Les écoles de conduite, essaie de former des chauffeurs, en prenant soin de regarder d'abord si les postulantes et postulants peuvent payer, car un permis SPL vaut aujourd'hui plus que son pesant d'or.
Et malgré les tarifs nous retrouvons sur la route des personnes surement pleine de bonnes intentions, mais qui n'ont rien appris ou mal compris les règles de la route.
De plus les pouvoirs publics font tout pour dévaloriser notre profession, traitant presque d'incapable le personnel roulant, pour preuve, le nouvel interdit, qui va peut-être voir le jour dans le col du Grand Boeuf sur l'A7.
Cet interdit consistera à parquer les camions sur l'aire de St Rambert d'Albon 26 lors de conditions (neige, verglas).
Quand il y a un problème, cachons notre inéfficacté, par des moyens spectaculaires et qui auront l'avantage d'être visible dans les médias et cela sans débourser un ct €.
Mais les Stes d'autoroutes propriétaires des droits d'exploitations cachent ainsi leurs incompétences, ne doivent-elles pas tous mettre en oeuvre pour assurer la libre circulation des biens et des marchandises, et donc pour cela tout mettre en oeuvre pour que les camions tout comme les voitures puissent circuler aisément sur les Autoroutes.
Doublés du fait d'un manque de compétence des formateurs de conducteurs SPL, nous allons vers une discrimination encore plus importante de notre profession.
Quand je vois les futurs conductrices ou conducteurs, apprendrent à conduire, je me marre, car assis sagement dans une cabine, en moyenne cinq candidats, par véhicule école, et apprendre à tourner un volant et pas plus en commettant des erreurs, qui font ne font pas parties malheureusement du code de la route, je suis surpris du peu d'accident qui interviennent ensuite sur le bitume. Et je comprend aussi pourquoi le manque de vocation intervient après le passage pour obtenir le fameux césame, qui donnera le droit de conduire, un 40Tonnes.
Tout, dans les cours donnés devraient être repensé, car faire une marche arrière, pour s'arrêter pile poil sur une ligne en un temps précis, n'a rien à voir avec la réalité, mais calculer les distances de freinage cela devrait être une priorité, savoir donner des conseils de chargement, en équilibrant son camion cela devrait être impératif, car la plupart des chauffeurs qui passent leurs diplômes sont incapables à la sortie des cours de faire charger un camion correctement, et quand je vois sur la route des camions qui penchent à droite ou à gauche, je ne peux que penser que c'est un jeune au volant.
Apprendre à conduire demande du temps, et une conductrice ou conducteur ne devrait pas être mis sur la route alors qu'il sort tout juste de l'école, on devrais le confier à un "Grand Frère" qui lui apprendrait réellement la route avec ses pièges, ses devoirs, ses obligations, et surtout leurs inculquer, le respect des autres usagers.
Les écoles de conduite, essaie de former des chauffeurs, en prenant soin de regarder d'abord si les postulantes et postulants peuvent payer, car un permis SPL vaut aujourd'hui plus que son pesant d'or.
Et malgré les tarifs nous retrouvons sur la route des personnes surement pleine de bonnes intentions, mais qui n'ont rien appris ou mal compris les règles de la route.
De plus les pouvoirs publics font tout pour dévaloriser notre profession, traitant presque d'incapable le personnel roulant, pour preuve, le nouvel interdit, qui va peut-être voir le jour dans le col du Grand Boeuf sur l'A7.
Cet interdit consistera à parquer les camions sur l'aire de St Rambert d'Albon 26 lors de conditions (neige, verglas).
Quand il y a un problème, cachons notre inéfficacté, par des moyens spectaculaires et qui auront l'avantage d'être visible dans les médias et cela sans débourser un ct €.
Mais les Stes d'autoroutes propriétaires des droits d'exploitations cachent ainsi leurs incompétences, ne doivent-elles pas tous mettre en oeuvre pour assurer la libre circulation des biens et des marchandises, et donc pour cela tout mettre en oeuvre pour que les camions tout comme les voitures puissent circuler aisément sur les Autoroutes.
Doublés du fait d'un manque de compétence des formateurs de conducteurs SPL, nous allons vers une discrimination encore plus importante de notre profession.
Quand je vois les futurs conductrices ou conducteurs, apprendrent à conduire, je me marre, car assis sagement dans une cabine, en moyenne cinq candidats, par véhicule école, et apprendre à tourner un volant et pas plus en commettant des erreurs, qui font ne font pas parties malheureusement du code de la route, je suis surpris du peu d'accident qui interviennent ensuite sur le bitume. Et je comprend aussi pourquoi le manque de vocation intervient après le passage pour obtenir le fameux césame, qui donnera le droit de conduire, un 40Tonnes.
Tout, dans les cours donnés devraient être repensé, car faire une marche arrière, pour s'arrêter pile poil sur une ligne en un temps précis, n'a rien à voir avec la réalité, mais calculer les distances de freinage cela devrait être une priorité, savoir donner des conseils de chargement, en équilibrant son camion cela devrait être impératif, car la plupart des chauffeurs qui passent leurs diplômes sont incapables à la sortie des cours de faire charger un camion correctement, et quand je vois sur la route des camions qui penchent à droite ou à gauche, je ne peux que penser que c'est un jeune au volant.
Apprendre à conduire demande du temps, et une conductrice ou conducteur ne devrait pas être mis sur la route alors qu'il sort tout juste de l'école, on devrais le confier à un "Grand Frère" qui lui apprendrait réellement la route avec ses pièges, ses devoirs, ses obligations, et surtout leurs inculquer, le respect des autres usagers.