par Mais ou sont-ils les forts en gueule qui sur les routes de France et de Navarre refont le monde de la route ??
Mais ou sont-ils, les forts en gueule qui le soir devant leur jaunet quotidien, râlent sur les clients qu'ils ont livrès dans la journée ??
Mais ou sont-ils les rois du macadam, qui font la course au volant de leurs pièges, et qui gagnent parce qu'ils ont des pneus neufs ??
Mais où sont-ils les pourfendeurs de lois, qui tiennent tête au force publique ??
Mais ou sont-ils ceux qui cassent la gueule à leurs patrons quand ceux-ci ne sont pas contents.??
Ils ne sont pas la, ils sont aux abonnés absents, ils sont la le soir devant leurs jaunets et ils parlent en espérant que leur patron ne soit pas dans les parages. Mais ils parlent et certains les écoutent en pensant à la couchette du camion.
ILs se gobergent dans leur mélasse de leurs vies de tous les jours.
La crise, chut il ne faut pas en parler, car eux ils ont de la chance ils travaillent, et puis les autres ils ont qu'à se démmerder, ce n'est pas de leur faute cette crise quand même, et puis eux ils ont acceptés de faire des sacrifices même contraire au code du travail, quand leur employeur leur a demandè, eux ils sont meilleurs la preuve ils travaillent.
ILs oublient qu'ils sont les premiers sur la liste de leurs employeurs en cas d'obligation pour le patron de se séparer des conducteurs. Car il y aura toujours des "moins chers" et des "moins regardants".
Mais ils pourront reprendre la route demain matin avec la crainte du lendemain.
Mais ou sont-ils, les forts en gueule qui le soir devant leur jaunet quotidien, râlent sur les clients qu'ils ont livrès dans la journée ??
Mais ou sont-ils les rois du macadam, qui font la course au volant de leurs pièges, et qui gagnent parce qu'ils ont des pneus neufs ??
Mais où sont-ils les pourfendeurs de lois, qui tiennent tête au force publique ??
Mais ou sont-ils ceux qui cassent la gueule à leurs patrons quand ceux-ci ne sont pas contents.??
Ils ne sont pas la, ils sont aux abonnés absents, ils sont la le soir devant leurs jaunets et ils parlent en espérant que leur patron ne soit pas dans les parages. Mais ils parlent et certains les écoutent en pensant à la couchette du camion.
ILs se gobergent dans leur mélasse de leurs vies de tous les jours.
La crise, chut il ne faut pas en parler, car eux ils ont de la chance ils travaillent, et puis les autres ils ont qu'à se démmerder, ce n'est pas de leur faute cette crise quand même, et puis eux ils ont acceptés de faire des sacrifices même contraire au code du travail, quand leur employeur leur a demandè, eux ils sont meilleurs la preuve ils travaillent.
ILs oublient qu'ils sont les premiers sur la liste de leurs employeurs en cas d'obligation pour le patron de se séparer des conducteurs. Car il y aura toujours des "moins chers" et des "moins regardants".
Mais ils pourront reprendre la route demain matin avec la crainte du lendemain.
