Trop souvent, les routiers se plaignaient de leurs conditions de travail, quand il y avait du travail.
Trop souvent, les routiers se plaignent des conditions de travail d'aujourd'hui, lorsqu'ils ont du travail.
Un choix dans le métier que nous avons souvent aimé, mais qui aujourd'hui ce solde par des échecs personnels pour certains.
Je n'entend plus les fiers à bras, revenir sur le devant de la scène de ce monde de la route, pourquoi sont-ils devenus frileux?
Je n'entend plus les hommes de la route revenir, sur un monde qui n'existe que dans le souvenir.
Mais et demain de quoi sera fait demain, ce que je constate c'est qu'il ne faut pas se poser de question. Car sinon la peur de demain apparait aussitôt.
Des personnes bien pensantes bénéficient d'avantages, pour le moins surprenant, et ces personnes viennent nous donner leurs avis sur la vision de leur monde, alors qu'elles deviennent elles mêmes des charges indirectes pour la société dont chacun de nous fait partie. Car la forme de vie actuelle est surtout une forme de vie ou l'égoïsme est devenu un force de vie.
Et de chacun de tirer sur son voisin, ou même sur sa famille pour ce faire valoir, le monde de la route n'échappe pas à ces évidences, ce n'est pas de la fautes des "étrangers" si ils viennent rouler sur nos route. Mais le notre car nous sommes surtout devenus des ombres sur les routes, le nuit les camions ce transforment en "son et lumière" mais la femme ou l'homme qui est au volent doit surtout rester dans l'ombre, car lui la seule pensée qu'il a est de rentrer au plus vite chez lui afin de terminer sa journée de fonctionnaire de l'autoroute.
Trop souvent, les routiers se plaignent des conditions de travail d'aujourd'hui, lorsqu'ils ont du travail.
Un choix dans le métier que nous avons souvent aimé, mais qui aujourd'hui ce solde par des échecs personnels pour certains.
Je n'entend plus les fiers à bras, revenir sur le devant de la scène de ce monde de la route, pourquoi sont-ils devenus frileux?
Je n'entend plus les hommes de la route revenir, sur un monde qui n'existe que dans le souvenir.
Mais et demain de quoi sera fait demain, ce que je constate c'est qu'il ne faut pas se poser de question. Car sinon la peur de demain apparait aussitôt.
Des personnes bien pensantes bénéficient d'avantages, pour le moins surprenant, et ces personnes viennent nous donner leurs avis sur la vision de leur monde, alors qu'elles deviennent elles mêmes des charges indirectes pour la société dont chacun de nous fait partie. Car la forme de vie actuelle est surtout une forme de vie ou l'égoïsme est devenu un force de vie.
Et de chacun de tirer sur son voisin, ou même sur sa famille pour ce faire valoir, le monde de la route n'échappe pas à ces évidences, ce n'est pas de la fautes des "étrangers" si ils viennent rouler sur nos route. Mais le notre car nous sommes surtout devenus des ombres sur les routes, le nuit les camions ce transforment en "son et lumière" mais la femme ou l'homme qui est au volent doit surtout rester dans l'ombre, car lui la seule pensée qu'il a est de rentrer au plus vite chez lui afin de terminer sa journée de fonctionnaire de l'autoroute.