par Sommes nous devenus des mules, qui transportons des tonnes de marchandises, pour une ration de foin tout juste bonne pour nourrir, la mule que nous sommes peut-être devenues.
Juste, un petit retour en arrière, il y a des années, nous avons fait grève, pour essayer de sauver une Ste de transport, et pour ce faire nous avons bloqué l'accès au Mont Blanc.
Et nous faisions cette grève parce qu'un patron allait disparaître, il s'appelait Stouff.
Aujourd'hui, des Stes disparaissent et les roulants, rentrent chez eux pour annoncer la nouvelle, mais ne font rien, pour venir en aide, il reste les bras croisés devant le sort.
Aujourd'hui des roulants, ce font mettre dehors sous des prétextes plus que litigieux, et j'entends dire de ce roulant, que son employeur avait peut-être raison. Qu'elle mentalité.
Et en plus une fois au volant ils roulent des mécaniques, Moi-je, Moi-je, Moi-je disent ils devant la machine à café.
Puis aussitôt que le chef de quai les siffle, ils s'en vont reprendre leur place au volant de leurs illusions.
Trop souvent j'entends dire, que nous les anciens nous avons bien vécus, et cela est vrai, mais nous avions foi en notre métier, qui il est vrai nous nourrissait correctement.
Et si nous avons laisser, le long des routes, des copains nous sommes encore capable de nous rappeler qui ils étaient, et ces souvenirs sont gravés au fond de notre mémoire pour longtemps.
Je ne suis pas sur qu'aujourd'hui, un chauffeur de telle ou telle Ste connaisse ou veille connaître l'autre roulant qui pourtant fait le même travail que lui.
L'indifférence de chacun rejaillit sur notre métier, et de chacun de dire ce n'est pas de ma faute, non c'est de la faute des autres, et comme de juste, tout le monde pense la même chose dans ce monde uniformisé.
Même l'homme ou le femme qui travaille chez Renault connaît mieux le personnel que nous.
La faute à qui, certains diront aux syndicats, qui font surtout de la surenchères partisanes, plutôt que de comprendre le monde de la route.
Mais nous, nous sommes vous et vous êtes nous, et cela vous ne pouvez le nier, et nos idées sont parfois vos idées, et donc rien ne vous empêches de les exprimer. Mais les Moi-je sont trop souvent muet, parce que avant tout des Moi-je pour soi-même.
Juste, un petit retour en arrière, il y a des années, nous avons fait grève, pour essayer de sauver une Ste de transport, et pour ce faire nous avons bloqué l'accès au Mont Blanc.
Et nous faisions cette grève parce qu'un patron allait disparaître, il s'appelait Stouff.
Aujourd'hui, des Stes disparaissent et les roulants, rentrent chez eux pour annoncer la nouvelle, mais ne font rien, pour venir en aide, il reste les bras croisés devant le sort.
Aujourd'hui des roulants, ce font mettre dehors sous des prétextes plus que litigieux, et j'entends dire de ce roulant, que son employeur avait peut-être raison. Qu'elle mentalité.
Et en plus une fois au volant ils roulent des mécaniques, Moi-je, Moi-je, Moi-je disent ils devant la machine à café.
Puis aussitôt que le chef de quai les siffle, ils s'en vont reprendre leur place au volant de leurs illusions.
Trop souvent j'entends dire, que nous les anciens nous avons bien vécus, et cela est vrai, mais nous avions foi en notre métier, qui il est vrai nous nourrissait correctement.
Et si nous avons laisser, le long des routes, des copains nous sommes encore capable de nous rappeler qui ils étaient, et ces souvenirs sont gravés au fond de notre mémoire pour longtemps.
Je ne suis pas sur qu'aujourd'hui, un chauffeur de telle ou telle Ste connaisse ou veille connaître l'autre roulant qui pourtant fait le même travail que lui.
L'indifférence de chacun rejaillit sur notre métier, et de chacun de dire ce n'est pas de ma faute, non c'est de la faute des autres, et comme de juste, tout le monde pense la même chose dans ce monde uniformisé.
Même l'homme ou le femme qui travaille chez Renault connaît mieux le personnel que nous.
La faute à qui, certains diront aux syndicats, qui font surtout de la surenchères partisanes, plutôt que de comprendre le monde de la route.
Mais nous, nous sommes vous et vous êtes nous, et cela vous ne pouvez le nier, et nos idées sont parfois vos idées, et donc rien ne vous empêches de les exprimer. Mais les Moi-je sont trop souvent muet, parce que avant tout des Moi-je pour soi-même.
