Aujourd'hui, 29 janvier 2009, jour de grève générale, ce matin au réveil, la France devait se réveiller en grève, pas beaucoup de trains, pas beaucoup d'avions, pas beaucoup de transports en commun, peut-être, pas beaucoup de camions, Pas beaucoup de métros, pas beaucoup de professeurs, je pourrais continuer à énumérer les pas beaucoup, mais pour cela il y a les journaux, et la télé.
Que l'on soit pour ou contre la grève, nous devons de toutes façons la subir, et certains râleront, d'autres seront contents, enfin le grève quoi.
Mais il est certain que cette grève, n'est pas seulement une grève pour dire telle ou telle chose, mais pour exprimer le ras le bol de certains, Ras le bol d'être entré dans le monde de KAFKA, ras le bol des banquiers qui non content d'engloutir des milliards d'euros, décident, maintenant qu'elles ont l'aide de l'état, de se refaire une santé sur le dos du petit épargnant, ras le bol de ses employeurs qui délocalisent pour faire encore plus de bénéfices sur le dos des ouvriers, des pays en voix de développement et cela en faisant travailler des enfants.
Et quoique l'on puisse penser ras le bol de voir des pays se déchirer, pour des territoires occupés ou pas, aux xeuls bénéfices des marchand du temple, les vendeurs d'armes.
Ras le bol, d'entendre des promesses de mieux vivre, alors que la liste des pauvres est de plus en plus longue, ras le bol d'entendre et de voir des personnes mourir de froid et de faim, alors que d'autres ripailles sur le compte des gueux de toujours.
Mais de le monde dans lequel nous vivons est un monde d'individualismes et pour beaucoup peut importe que l'autre crève pourvu que l'on est l'ivresse d'écraser l'autre, dur réalité mais réalité tout de même.
Que l'on soit pour ou contre la grève, nous devons de toutes façons la subir, et certains râleront, d'autres seront contents, enfin le grève quoi.
Mais il est certain que cette grève, n'est pas seulement une grève pour dire telle ou telle chose, mais pour exprimer le ras le bol de certains, Ras le bol d'être entré dans le monde de KAFKA, ras le bol des banquiers qui non content d'engloutir des milliards d'euros, décident, maintenant qu'elles ont l'aide de l'état, de se refaire une santé sur le dos du petit épargnant, ras le bol de ses employeurs qui délocalisent pour faire encore plus de bénéfices sur le dos des ouvriers, des pays en voix de développement et cela en faisant travailler des enfants.
Et quoique l'on puisse penser ras le bol de voir des pays se déchirer, pour des territoires occupés ou pas, aux xeuls bénéfices des marchand du temple, les vendeurs d'armes.
Ras le bol, d'entendre des promesses de mieux vivre, alors que la liste des pauvres est de plus en plus longue, ras le bol d'entendre et de voir des personnes mourir de froid et de faim, alors que d'autres ripailles sur le compte des gueux de toujours.
Mais de le monde dans lequel nous vivons est un monde d'individualismes et pour beaucoup peut importe que l'autre crève pourvu que l'on est l'ivresse d'écraser l'autre, dur réalité mais réalité tout de même.