J'ai regardé avec attention une émission, qui avait pour titre, INFILTRES, et qui traitait des émigrants qui veulent aller remplir le bassin des sans emplois Anglais.
Nous avons assistés au marchandage, pour le passage des personnes 600€, puis aussi les conditions de vie des gens qui veulent aller plus loin dans l'aventure, mais aussi aux explications des policiers chargés d'infiltrés les candidats au passage, la police a donner son point de vue, les associations ont donnés leurs point de vue, les reporters ont donnés leurs point de vue, et tout ce petit monde image à l'appui, ne parlait que des émigrants, mais pourquoi sont-ils la, avec leur maigre barda, pour passer.
L'association Salam aidée par le Secours Catholique, ont parlé des conditions de vie dans les huttes et dans les bois, il manque peut-être un Totem, et nous aurions pu nous croire avec les peaux rouges.
Donc les associations ont discourus sur les difficultés de vie de ces émigrants, mais des routiers, pas un mot, nous ne sommes pas là, nous sommes ailleurs, nous devons être invisibles, rien pas un mot sur les routiers qui ont été en prison pour ces émigrants, pas un mot sur les surveillances obligées des camions par les chauffeurs, car c'est sûrement normal que nous soyons des transporteurs de la connerie humaine, nous n'avons même pas entendus tout le long de ce reportage un routier dire ce qu'il en pensait, et même si parfois les camions étaient le prétexte d'images, ils n'étaient que le prétexte et pas plus.
Alors j'ose le dire, ras le bol des émigrants, ras le bol des associations qui viennent au secours de nos lointains pays, ras le bol de Salam, qui fait de nous des passeurs involontaires, ras le bol des policiers qui arrêtent les émigrants et qui les remet dehors après un contrôle d'identité de ces émigrants qui n'ont pas de papiers, ras le bol de ces reporters qui viennent faire de l'audience, et dépenser six cents € par personne et qui savaient par avance qu'ils n'iraient pas en Angleterre, car connerie suprême, monter dans un camion frigorifique vide en partance pour l'Angleterre, cela me parait douteux. Mais que ne ferait-on pas pour faire de l'audience.
En ce qui concerne les chauffeurs, vous savez ceux qui roulent pour vous, nous nous sommes invisibles, nous n'existons pas, nous ne sommes pas là, nous roulons sans avoir de problèmes, avec les émigrants, nous roulons en dilettante, en regardant le paysage, et nous ne sentons pas qu'un émigrant bouge dans la remorque, nous ne subissons pas les contrôles au passage des ports d'embarquement vers l'Angleterre, nous sommes à leurs yeux des demeurés juste la pour faire bien dans le décors, ras le bol, de toutes ces conneries, ras le bol d'entendre la mort d'un routier, ras le bol des chauffeurs agressés dans leurs cabines, pour que des hurluberlus viennent faire des reportage sur ce qui les intéressent et seulement en regardant les choses avec le manque évident de déplaire aux associations qui font plus de mal que de bien, mais le mal est collatérale car nous sommes nous les routiers des agressés collatéraux et pas plus.
Que l'un des acteurs de l'association Salam, viennent nous répondre, et je lui promets qu'il aura forte à faire pour nous convaincre que ces conneries font du bien à un peuple de nomade en marche vers une vie meilleur, a moins qu'ils ne soient complices des passeurs.
Nous avons assistés au marchandage, pour le passage des personnes 600€, puis aussi les conditions de vie des gens qui veulent aller plus loin dans l'aventure, mais aussi aux explications des policiers chargés d'infiltrés les candidats au passage, la police a donner son point de vue, les associations ont donnés leurs point de vue, les reporters ont donnés leurs point de vue, et tout ce petit monde image à l'appui, ne parlait que des émigrants, mais pourquoi sont-ils la, avec leur maigre barda, pour passer.
L'association Salam aidée par le Secours Catholique, ont parlé des conditions de vie dans les huttes et dans les bois, il manque peut-être un Totem, et nous aurions pu nous croire avec les peaux rouges.
Donc les associations ont discourus sur les difficultés de vie de ces émigrants, mais des routiers, pas un mot, nous ne sommes pas là, nous sommes ailleurs, nous devons être invisibles, rien pas un mot sur les routiers qui ont été en prison pour ces émigrants, pas un mot sur les surveillances obligées des camions par les chauffeurs, car c'est sûrement normal que nous soyons des transporteurs de la connerie humaine, nous n'avons même pas entendus tout le long de ce reportage un routier dire ce qu'il en pensait, et même si parfois les camions étaient le prétexte d'images, ils n'étaient que le prétexte et pas plus.
Alors j'ose le dire, ras le bol des émigrants, ras le bol des associations qui viennent au secours de nos lointains pays, ras le bol de Salam, qui fait de nous des passeurs involontaires, ras le bol des policiers qui arrêtent les émigrants et qui les remet dehors après un contrôle d'identité de ces émigrants qui n'ont pas de papiers, ras le bol de ces reporters qui viennent faire de l'audience, et dépenser six cents € par personne et qui savaient par avance qu'ils n'iraient pas en Angleterre, car connerie suprême, monter dans un camion frigorifique vide en partance pour l'Angleterre, cela me parait douteux. Mais que ne ferait-on pas pour faire de l'audience.
En ce qui concerne les chauffeurs, vous savez ceux qui roulent pour vous, nous nous sommes invisibles, nous n'existons pas, nous ne sommes pas là, nous roulons sans avoir de problèmes, avec les émigrants, nous roulons en dilettante, en regardant le paysage, et nous ne sentons pas qu'un émigrant bouge dans la remorque, nous ne subissons pas les contrôles au passage des ports d'embarquement vers l'Angleterre, nous sommes à leurs yeux des demeurés juste la pour faire bien dans le décors, ras le bol, de toutes ces conneries, ras le bol d'entendre la mort d'un routier, ras le bol des chauffeurs agressés dans leurs cabines, pour que des hurluberlus viennent faire des reportage sur ce qui les intéressent et seulement en regardant les choses avec le manque évident de déplaire aux associations qui font plus de mal que de bien, mais le mal est collatérale car nous sommes nous les routiers des agressés collatéraux et pas plus.
Que l'un des acteurs de l'association Salam, viennent nous répondre, et je lui promets qu'il aura forte à faire pour nous convaincre que ces conneries font du bien à un peuple de nomade en marche vers une vie meilleur, a moins qu'ils ne soient complices des passeurs.