par « Faire du transport aujourd’hui, c’est aussi être capable de faire respecter ses droits et les obligations de ses clients », nous dit Gilbert, dans le métier depuis des lustres. Dans son activité, il a subi les crises, les remises en question, les grands changements. Pour arriver à se faire respecter face à des clients qui rechignaient à le payer dans les temps ou à régler les surcharges gazole, Gilbert n’y va pas par quatre chemins : « Moi, maintenant, c’est la méthode forte. Si un client traîne les pieds ou cherche à esquiver, je le remets dans les clous. Je ne fais pas de quartier ! »
Prendre l'initiative
Pour cela, Gilbert a trouvé l’arme idéale : le tribunal. « Si un client me cherche des histoires, j’écris tout de suite une lettre au procureur de la République pour dénoncer les faits. Et, en général, ma plainte ne finit pas à la corbeille. Il rend, dans la plupart des cas, une ordonnance de paiement qui oblige le client à me payer ce qu’il doit, et en respectant les délais de paiement, qui sont de 30 jours dans le transport routier. » De toute évidence, Gilbert n’est pas homme à se plaindre. Pour lui, si les transporteurs ne sont pas capables de prendre les initiatives qui s’imposent pour défendre leurs intérêts, alors « qu’ils ne viennent pas pleurer après ». Va-t-il perdre des clients ? « C’est un rapport de forces sain. Je ne pense pas perdre mes clients en leur imposant de bonnes pratiques commerciales ! », assène-t-il, un rien ironique.
Pour une fois qu'un transporteur ose faire appliquer le loi, et de cela je pense qu'il doit le faire dans tout les cas de figure, la loi est précise, et devrais être respecter par tous, malheureusement nous ne pouvons que constater que trop souvent les transporteurs sont des poules mouillées devant leurs sacro saints clients et qu'ils acceptent tout et n'importe quoi venant de ce client?
Nous le répéterons jamais assez, quand les transporteurs auront-ils des coucougnettes?? ailleurs que dans leurs porte feuilles...
Prendre l'initiative
Pour cela, Gilbert a trouvé l’arme idéale : le tribunal. « Si un client me cherche des histoires, j’écris tout de suite une lettre au procureur de la République pour dénoncer les faits. Et, en général, ma plainte ne finit pas à la corbeille. Il rend, dans la plupart des cas, une ordonnance de paiement qui oblige le client à me payer ce qu’il doit, et en respectant les délais de paiement, qui sont de 30 jours dans le transport routier. » De toute évidence, Gilbert n’est pas homme à se plaindre. Pour lui, si les transporteurs ne sont pas capables de prendre les initiatives qui s’imposent pour défendre leurs intérêts, alors « qu’ils ne viennent pas pleurer après ». Va-t-il perdre des clients ? « C’est un rapport de forces sain. Je ne pense pas perdre mes clients en leur imposant de bonnes pratiques commerciales ! », assène-t-il, un rien ironique.
Pour une fois qu'un transporteur ose faire appliquer le loi, et de cela je pense qu'il doit le faire dans tout les cas de figure, la loi est précise, et devrais être respecter par tous, malheureusement nous ne pouvons que constater que trop souvent les transporteurs sont des poules mouillées devant leurs sacro saints clients et qu'ils acceptent tout et n'importe quoi venant de ce client?
Nous le répéterons jamais assez, quand les transporteurs auront-ils des coucougnettes?? ailleurs que dans leurs porte feuilles...
