Même dans le transports, nous avons des emplois fictifs, le premier est connu, c'est le chauffeur qui roule sans carte, afin de faire plaisir à son employeur.
Mais le deuxième, est paradoxalement, plus cocasse.
Un de mes ex employeur, lui a trouver, un peu mieux, habitant dans une ville de province distante de 550 km de la capitale par l'autoroute.
Donc cet homme que je n'ai jamais vu, malgré que ce soit mon employeur, et pourtant il venait régulièrement à Paris. Mais l'intérêt qu'il portait à la capitale était d'ordre du bas ventre. de son personnel il n'en avait que faire.
Donc pour en revenir, aux emplois fictifs cet employeur avait une maitresse, dans la capitale, elle émargeait en tant que salariée sur l'entreprise, avait une voiture de fonction, et partait régulièrement en avion pour des voyages d'agréments vers des contrées plus chaudes, et le plus beau c'est qu'elle donnait son chien à garder aux chauffeurs, la bête était très heureuse avec nous, et surtout était nourrie par nous. Tant qu'a faire, nous sommes une bande de prolétaire, et elle partageait la couche et le fric que nous avions du mal à gagner.
Mais le deuxième, est paradoxalement, plus cocasse.
Un de mes ex employeur, lui a trouver, un peu mieux, habitant dans une ville de province distante de 550 km de la capitale par l'autoroute.
Donc cet homme que je n'ai jamais vu, malgré que ce soit mon employeur, et pourtant il venait régulièrement à Paris. Mais l'intérêt qu'il portait à la capitale était d'ordre du bas ventre. de son personnel il n'en avait que faire.
Donc pour en revenir, aux emplois fictifs cet employeur avait une maitresse, dans la capitale, elle émargeait en tant que salariée sur l'entreprise, avait une voiture de fonction, et partait régulièrement en avion pour des voyages d'agréments vers des contrées plus chaudes, et le plus beau c'est qu'elle donnait son chien à garder aux chauffeurs, la bête était très heureuse avec nous, et surtout était nourrie par nous. Tant qu'a faire, nous sommes une bande de prolétaire, et elle partageait la couche et le fric que nous avions du mal à gagner.