par Un ras le bol, en forme de cris.
Que sommes nous devenus, nous les routiers, des moins que rien, et pourtant nous les anciens avions ouverts des portes, qui ce sont refermées, devant l’auto suffisance de certain d’entre nous.
Mais une mentalité d’aujourd’hui ou tout est fait pour l’individualisme, pour l’égoïsme, de chacun, pensez d’abord à vous doit dire un nain de jardin et je m’occuperais de vos finances.
Et tous nous plongeons dans ce discours comme un seul homme.
Demain le métier de routier deviendra, un métier, ou nous n’aurons même plus le droit de nous arrêter, pour prendre un café, et cela à cause d’un manque de conviction, de la part des fanfarons de la route qui ne rêves que de faire du bruit la nuit dans les villages endormis, au volant qu’ils sont de leurs camions au pots d’échappements bruyant, pour faire croire qu’ils sont des routiers.
Nous n’avions pas, il y des années en arrière, des camions bruyants ou des gros moteurs, mais nous savions nous arrêter quand un copain était en panne.
Nous faisions de la route, avec d’autres, mais et surtout avec le plaisir d’être autre chose que des ouvriers pointant en usine. Notre liberté nous savions en disposer, et surtout nous faisions notre travail le plus proprement possible.
Nous n’avions pas non plus à faire avec des patrons margoulins, ou banquier, nous savions nous faire respecter, alors qu’aujourd’hui bien des chauffeurs ne ce respectent pas eux-mêmes, alors comment respecter les autres.
Les routes de maintenant sont trop souvent habitées par des tourneurs de volants qui sont dans l’incapacité de changer une lampe de veilleuse.
Trop imbus de leurs soit disant métier qu’ils sont.
Que sommes nous devenus, nous les routiers, des moins que rien, et pourtant nous les anciens avions ouverts des portes, qui ce sont refermées, devant l’auto suffisance de certain d’entre nous.
Mais une mentalité d’aujourd’hui ou tout est fait pour l’individualisme, pour l’égoïsme, de chacun, pensez d’abord à vous doit dire un nain de jardin et je m’occuperais de vos finances.
Et tous nous plongeons dans ce discours comme un seul homme.
Demain le métier de routier deviendra, un métier, ou nous n’aurons même plus le droit de nous arrêter, pour prendre un café, et cela à cause d’un manque de conviction, de la part des fanfarons de la route qui ne rêves que de faire du bruit la nuit dans les villages endormis, au volant qu’ils sont de leurs camions au pots d’échappements bruyant, pour faire croire qu’ils sont des routiers.
Nous n’avions pas, il y des années en arrière, des camions bruyants ou des gros moteurs, mais nous savions nous arrêter quand un copain était en panne.
Nous faisions de la route, avec d’autres, mais et surtout avec le plaisir d’être autre chose que des ouvriers pointant en usine. Notre liberté nous savions en disposer, et surtout nous faisions notre travail le plus proprement possible.
Nous n’avions pas non plus à faire avec des patrons margoulins, ou banquier, nous savions nous faire respecter, alors qu’aujourd’hui bien des chauffeurs ne ce respectent pas eux-mêmes, alors comment respecter les autres.
Les routes de maintenant sont trop souvent habitées par des tourneurs de volants qui sont dans l’incapacité de changer une lampe de veilleuse.
Trop imbus de leurs soit disant métier qu’ils sont.
