Les interdits

Je vois comme vous des interdits partout.
Interdits de doubler
interdit aux + de 3t5
Interdit aux + de 7t5
Interdit de dépasser les 80 KMH
Interdit de transiter au camions
Interdit de roouler le dimanche

Interdit de rouler les jours des départs en vacances
Interdit de rouler les jours des retour de vacances
Interdit de rouler sous la neige
Interdit de doubler dans un tunnel
Interdit de pisser les week end
Interdit de faire autre chose les mêmes week end
Interdit de manger sur les centres routiers le week end

Pour résumer interdit d'être routier.

j'en ai un peu marre de cette société qui ne veut pas voir sa réalité en face, sans ces "putains de camions" les gens qui nous interdisent tout et rien crèveraient de faim, ils ne pourraient même pas ce torcher le dérrière, car le PQ seraient dans nos camions.

ah non pour le PQ : ces moi qui le transporte dans le camion mais pour le reste tu à réçon on ne peut plus travailler

Aller pour s'amuser, je vais juste faire semblant pour faire voir que si il n'y avait pas de camions, que pourrait faire le Monsieur de tout les jours.

1° déjà il n'aurait pas de voiture, car il faudrait qu'il aille la chercher à l'usine, donc il devrait prendre le métro puis le train, pour aller à Sochaux, prendre possession de son hypothétique, véhicule. Car l'usine n'ayant que des bras d'homme pour aller chercher les pièces, avec l'aide des boeufs et des chevaux.

bon la il va faloir que les paysant prépare du foin pour les boeufs ou les chevaux tout en sachant qu'il faudra faire des relai ou les faire reposé on nes pas dans la merde

Puis une fois en possession de son véhicule, le quidam, doit mettre de l'essence, car il n'y a pas de carburant dans les voitures en usines.*

A quelques pas de la il y a une station service, mais elle ne vend plus que des bonbons, qu'elle avait en stock, car les camions citernes ne livrent plus.

La solution passe par la raffinerie, qui est à Strasbourg, donc le quidam achète un jerrican, et prend le train pour la raffinerie, malheureusement au retour il ne peut pas prendre le train, car cela est interdit de voyager avec des produits dangereux dans le train, donc il fait du stop, il n'est pas le seul, et pas de camions. que des voitures et des charrettes tirées par des cheveaux, et les place sont chères.

Enfin après deux jours de voyage le voila de retour, à son véhicule, personne n'a essayé de le voler.

Il met ses vingt litres dans son réservoir, et le voila repartit pour Strasbourg et sa raffinerie. de nouveau il fait le plein, de son réservoir et des jérricans qu'il a trouvé.

Sur l'autoroute c'est le désert.
Et il roule doucement pour économiser son essence, parfois des stoppeurs avec des jérricans tentent de se faire convoyer, vers une station de raffinerie.

A suivre

Une fois chez lui, il montre à sa famille, la merveille, qu'il vient d'acheter, heureux l'homme qui possède une automobile.

Son épouse lui demande d'aller faire les courses, pour le repas du soir.

Les grandes surfaces sont toutes fermées, car plus de livraison, les camions ne livrent plus rien, depuis le début de la grève des routiers.

Pour le poisson il faut qu'il aille jusqu'à la mer, s'il veut du poisson frais, et le kilogramme de cabillaud lui revient à des prix défiant toutes analyses, l'essence est devenue plus chère, mais que ne ferait-on pas pour sa famille, manger du poisson frais est devenu un luxe.
Sinon il reste le poissonier qui lui est approvisionner par chevaux rapide, et le poisson supporte mal le transport.

Pour le viande, le boucher est dans la même problématique, pour avoir de la viande fraiche il faut aller vers les abattoires, les troupeaux de boeufs arrivent sur pattes et par la route et un voyage peu durée plusieurs jours.
Les gens font la queue pour avoir des morceaux frais, et les bouchers ont acheter des percherons pour transporter leuirs viandes.

pour les légumes, ils faut aller vers les maraîchers qui ce sont de nouveau implamtés dans la périphérie des grandes villes.

a suivre

Pour les fruits le problême devient plus ardus, plus d'oranges, plus d'ananas, plus de fraises, plus de bananes, il reste les pommes de normandie, et les poires du jardin, lles clémentines de noël, resteront sur l'arbre.

Voila pour la nourriture.

Mais il y a aussi, les autres produits, par exemple les lessives, Unilever est à Amiens, le PQ qui était transporté par Turbo, lui vient d'Alsace, la Redoute et les Trois Suisses, font rouler leurs coureurs cycliste dopé ou pas ils roulent avec des triporteurs, comme cela ils se musclent pour le Tour de France.

Pour la boisson, finit les vins de Cahors, ou de Bordeaux, l'eau du robinet coule à flot dans les verres.

Les enfants ne jouent plus au Gameboy, plus de piles.
Et le soir tout le monde se pose la même question, quand les routiers vont-ils reprendre la route?

Et pourtant les routiers ne sont pas sur les routes, ils sont chez eux, en attendant que l'on les prenne au sérieux, l'armée elle à sortie tous les camions des dépôts pour palier au déficit des denrées alimentaires de première urgences, et ils sont les seuls camions à rouler.

L'état en la personne du ministre des transports dialoguent avec les représentants légaux, mais ne veut pas avoir l'air de ceder, les routiers non plus.

Renault et Peugeot on mis la presque totalité des ouvriers au chomage technique, plus de matéraiux pour construire les voitures, plus de construction nouvelles de logements, et le Pays est cloué pour faute de camions.

ah que ces beau de révé ,plus de camion :plus d'aire pure à respirer se dise les écolos

Etre pris au sérieux rien de plus, juste pris au sérieux, mais en attendant monsieur toulemonde, attend que le travail reprenne et il pense que si cela continue il va falloir qu'il transforme sa pelouse avec ses nains de jardin en potager, les banques ont aussi des problèmes avec des distributeurs sans billets et des camions de livraisons qui ne viennent pas et tous les matins monsieur Dupont directeur de la banque va à la banque de France pour aller chercher des billets qui sont aussi rationnés.

Cette petite fiction, est en fait une réalité de tout les jours, ce n'est pas la SNCF qui peut ou doit supplanter les camions, ces deux formes de transports sont complémetaires et ne sont pas en opposition, je ne vois pas un train venir livrer la farine du boulanger, pas plus que le boucher ne pourrait être livré devant sa boutique, il serait amusant de voir les trains livrer les boutiques, et cela est une vue d'esprit, mais je pense que Monsieur Toulemonde deviendrait cinglé de voir les trains envahir les rues de¨Paris.

c'est pas interdit de dire tout cela ???

il faudrais pouvoir publier cette petite histoire et faire prendre conscience a msr tout que sans les camions,ils ne peuvent plus rien faire.

lire a msr tout le monde