Nous sommes dans une période hivernale, et haro sur le monde de la route.
Devant l'incapacité des pouvoirs publiques,les préfets fort de leurs prérogatives interdisent les trafics routiers au nom de la sécurité. Soit mais ou cela devient inquiétant, c'est lorsque ces mêmes pouvoirs publiques, ignorent les règles les plus élémentaires du savoir vivre, je m'explique.
C'est toujours facile de bloquer des camions, sur les routes de France et de les bloquer sur des parkings ou sont réunis toutes les conditions d'hygiènes et de vie. mais que dire lorsque la gendarmerie, oblige les camions à stationner sur les bandes d'arrêts d'urgences. Loin de toutes commodités.
Nous sommes devenus des chiens galeux de la route, nous avons le droit de vivre notre métier, et de crever en même temps semble dire les gendarmes, pourquoi une telle conclusion, des camions ont été bloqués le long de l'A20 le samedi à 22 heures et ont été relâchés a 3 heures du matin le lundi matin.
Pas de toilettes, pas de restaurants à moins de 20 kilomètres, et pas de passage de police ou d'ONG, oubliés dans le désert de l’indifférence. Elle n'est pas belle la route d'aujourd'hui.
Devant l'incapacité des pouvoirs publiques,les préfets fort de leurs prérogatives interdisent les trafics routiers au nom de la sécurité. Soit mais ou cela devient inquiétant, c'est lorsque ces mêmes pouvoirs publiques, ignorent les règles les plus élémentaires du savoir vivre, je m'explique.
C'est toujours facile de bloquer des camions, sur les routes de France et de les bloquer sur des parkings ou sont réunis toutes les conditions d'hygiènes et de vie. mais que dire lorsque la gendarmerie, oblige les camions à stationner sur les bandes d'arrêts d'urgences. Loin de toutes commodités.
Nous sommes devenus des chiens galeux de la route, nous avons le droit de vivre notre métier, et de crever en même temps semble dire les gendarmes, pourquoi une telle conclusion, des camions ont été bloqués le long de l'A20 le samedi à 22 heures et ont été relâchés a 3 heures du matin le lundi matin.
Pas de toilettes, pas de restaurants à moins de 20 kilomètres, et pas de passage de police ou d'ONG, oubliés dans le désert de l’indifférence. Elle n'est pas belle la route d'aujourd'hui.