par Trop souvent les souvenirs sont déformés par les regards que nous posons sur des évènements que nous considérons, parfois à juste titre, ou d'autre fois à contrario, nous jugeons, et nous pensons en notre for intérieur que nous avons raisons de penser ce que nous définissons comme une juste cause.
Tous nous avons du subir des atteintes à nos modes de penser, et le métier de chauffeur trop souvent galvaudé par des énergumènes, que nous subissons sur les routes que nous fréquentons, est aussi un métier de femmes et d'hommes qui avaient et qui ont encore la fibre, mais de chacun de croire en sa bonne étoile et de croire que la pensée que nous donnons est universelle.
Malheureusement rien n'est moins vrai, car notre système de penser nous range automatiquement sur le parking de la désolation, et trop de chauffeur pour ne pas dire tous sont installés sur des parking de la pensée individuelle.
Tous nous avons du subir des atteintes à nos modes de penser, et le métier de chauffeur trop souvent galvaudé par des énergumènes, que nous subissons sur les routes que nous fréquentons, est aussi un métier de femmes et d'hommes qui avaient et qui ont encore la fibre, mais de chacun de croire en sa bonne étoile et de croire que la pensée que nous donnons est universelle.
Malheureusement rien n'est moins vrai, car notre système de penser nous range automatiquement sur le parking de la désolation, et trop de chauffeur pour ne pas dire tous sont installés sur des parking de la pensée individuelle.
