Nous avons gagnés ????
Nous avons gagnés le droit de nous taire, car il y a une augmentation.
De combien, en moyenne de 3,56% du salaire + 3% sur les frais de route, ce qui veut dire en clair que nous avons une augmentation de 1% pour les frais de route et de 1,19% pour les salaires, je divise par trois car il n'y a eut aucune augmentation en 2008 et pas plus qu'en 2009 et donc cette augmentation tiendra bien pendant 2010.
Et pendant ce temps les ministères se sont octroyés une augmentation record de 17% en moyenne sur l'année 2009, les Français sont tellement abrutis par la crise, que certains en profitent pour les mettre encore plus à mal, puisque les ministères nous les payons par nos impôts.
Vive les pauvres qui ne peuvent rien dire, ou plutôt qui comptent sous après sous pour acheter les buches de noël.
Au fait nous devenons des clochards de la route et les syndicats trop heureux de signer un compromis pour éviter que leurs dirigeants soient obligés de venir sur les piliers de grèves, nous ont oubliés sur l'autel du compromis.
Nous avons gagnés le droit de nous taire, car il y a une augmentation.
De combien, en moyenne de 3,56% du salaire + 3% sur les frais de route, ce qui veut dire en clair que nous avons une augmentation de 1% pour les frais de route et de 1,19% pour les salaires, je divise par trois car il n'y a eut aucune augmentation en 2008 et pas plus qu'en 2009 et donc cette augmentation tiendra bien pendant 2010.
Et pendant ce temps les ministères se sont octroyés une augmentation record de 17% en moyenne sur l'année 2009, les Français sont tellement abrutis par la crise, que certains en profitent pour les mettre encore plus à mal, puisque les ministères nous les payons par nos impôts.
Vive les pauvres qui ne peuvent rien dire, ou plutôt qui comptent sous après sous pour acheter les buches de noël.
Au fait nous devenons des clochards de la route et les syndicats trop heureux de signer un compromis pour éviter que leurs dirigeants soient obligés de venir sur les piliers de grèves, nous ont oubliés sur l'autel du compromis.