par Souvent, lorsque le temps le permet, je me permet de prendre le guidon de la tondeuse à gazon.
Chouette la machine, pas de démarreur, une ficelle de lancement et le tour est joué.
Et comme elle est auto-tractée elle me permet de ne pâs faire trop d'effort.
Gare à l'herbe trop haute, la tondeuse passe et repasse, et aujourd'hui, j'ai repris les chemins de la route tout en poussant un peu la tondeuse.
Et je me suis dit qu'il y avait quelques 300 000 chauffeurs routiers, en France, et qu'il y avait donc 300 000 permis de conduire différent, ou bien 300 000 lois qui régissent cette profession.
Et j'ai pris pour preuve un discours qui m'a été donné en guise d'explication, de la non-présence sur les plateau de télé, des routiers qui ont encore quelque chose à dire.
L'explication tient dans une phrase, nous ne sommes pas représentatifs du monde de la route.
Et en l'occurence Florence elle est plus représentative de notre monde. Je veux bien lui reconnaître qu'elle sait conduire un magnum, en se maquillant, bravo Madame, je veux bien reconnaître qu'elle est plus bandante qu'un routier sur un plateau, et je veux bien reconnaître qu'elle fait du sport en tirant des palettes, ce qui doit lui musclé le thorax, à ce que nous voyons.
Mais ce que j'ignorais, c'est que dérrière elle se cachait un reporter, qui est en même temps routier chez T.I.B "Transport Isabelle Bourgeois" et qu'il fait un route particulièrement harrassante, et qu'en même temps il produit des écrits sur le transport d'aujourd'hui.
Mais quand ont fait deux métiers différents, à mon avis on ne peux faire les deux très bien, mais ce n'est que mon avis.
Donc il y a 300 000 lois pour les routiers, et encore je ne compte pas celles des autres pays, je ne compte que les lois roulantes française?
Et de chacun d'inventer ou de traduire les lois, qui n'a pas entendu que les frigos avaient des dérrogations, et je reconnais bien humblement que je suis un de ceux qui a cru que des Stes avaient des passes droit, exemple AIR-LINER qui je pensais sincérement qu'elle avait des facilités avec les lois. Exemple aussi avec un Transporteur qui roulaient plus vite que nous "PATALACCI" qui faisaient ce que bon lui semblait en terme de vitesse.
Mais dans notre époque, nous avions des lois, et pas des moindres qui n'étaient écrites dans aucuns manuels, mais que nous respections tous.
Un col nous fréquentions, nous obligeais à laisser passer les montants.
Les chauffeurs de la même Ste se saluaient.
Nous avions même des gens qui nous saluaient, alors que nous les connaissions pas, je veux parler des IRAN CARRIER, dont les chauffeurs nous faisaient le signe de la victoire en gants blanc, quand ils nous croisaient sur les routes que nous pratiquions.
A cette époque nous ne mettions pas les gants pour faire de la mécanique, nous les mettions surtout pour débacher, ce qui nous faisait de beaux thorax je le reconnais, mais nous savions sans connaître les lois, nous arrêter pour donner un coup de main au chauffeur qui avait crever.
Aujourd'hui, pour changer une roue il faut seulement savoir téléphoner, pour avopir un dépanneuse. Quand à la mécanique n'en parlons même plus, car comme Linda De Souza, il faut avoir une valise de contrôle.
Donc je comprends beaucoup mieux pourquoi, des hommes et des femmes font un métier, pour faire du sport, en tirant des palettes ce qui d'ailleurs contraire à la convention collective, mais Flarence ne doit pas savoir lire, mais toujours est-il qu'elle sait écrire dans sa tribune sur le journal des routiers.
Peut-être nous apprendra-t-elle comment on charge des camions, ou comment on roule dans le désert de l'égoïsme de certain chauffeur routier.
Chouette la machine, pas de démarreur, une ficelle de lancement et le tour est joué.
Et comme elle est auto-tractée elle me permet de ne pâs faire trop d'effort.
Gare à l'herbe trop haute, la tondeuse passe et repasse, et aujourd'hui, j'ai repris les chemins de la route tout en poussant un peu la tondeuse.
Et je me suis dit qu'il y avait quelques 300 000 chauffeurs routiers, en France, et qu'il y avait donc 300 000 permis de conduire différent, ou bien 300 000 lois qui régissent cette profession.
Et j'ai pris pour preuve un discours qui m'a été donné en guise d'explication, de la non-présence sur les plateau de télé, des routiers qui ont encore quelque chose à dire.
L'explication tient dans une phrase, nous ne sommes pas représentatifs du monde de la route.
Et en l'occurence Florence elle est plus représentative de notre monde. Je veux bien lui reconnaître qu'elle sait conduire un magnum, en se maquillant, bravo Madame, je veux bien reconnaître qu'elle est plus bandante qu'un routier sur un plateau, et je veux bien reconnaître qu'elle fait du sport en tirant des palettes, ce qui doit lui musclé le thorax, à ce que nous voyons.
Mais ce que j'ignorais, c'est que dérrière elle se cachait un reporter, qui est en même temps routier chez T.I.B "Transport Isabelle Bourgeois" et qu'il fait un route particulièrement harrassante, et qu'en même temps il produit des écrits sur le transport d'aujourd'hui.
Mais quand ont fait deux métiers différents, à mon avis on ne peux faire les deux très bien, mais ce n'est que mon avis.
Donc il y a 300 000 lois pour les routiers, et encore je ne compte pas celles des autres pays, je ne compte que les lois roulantes française?
Et de chacun d'inventer ou de traduire les lois, qui n'a pas entendu que les frigos avaient des dérrogations, et je reconnais bien humblement que je suis un de ceux qui a cru que des Stes avaient des passes droit, exemple AIR-LINER qui je pensais sincérement qu'elle avait des facilités avec les lois. Exemple aussi avec un Transporteur qui roulaient plus vite que nous "PATALACCI" qui faisaient ce que bon lui semblait en terme de vitesse.
Mais dans notre époque, nous avions des lois, et pas des moindres qui n'étaient écrites dans aucuns manuels, mais que nous respections tous.
Un col nous fréquentions, nous obligeais à laisser passer les montants.
Les chauffeurs de la même Ste se saluaient.
Nous avions même des gens qui nous saluaient, alors que nous les connaissions pas, je veux parler des IRAN CARRIER, dont les chauffeurs nous faisaient le signe de la victoire en gants blanc, quand ils nous croisaient sur les routes que nous pratiquions.
A cette époque nous ne mettions pas les gants pour faire de la mécanique, nous les mettions surtout pour débacher, ce qui nous faisait de beaux thorax je le reconnais, mais nous savions sans connaître les lois, nous arrêter pour donner un coup de main au chauffeur qui avait crever.
Aujourd'hui, pour changer une roue il faut seulement savoir téléphoner, pour avopir un dépanneuse. Quand à la mécanique n'en parlons même plus, car comme Linda De Souza, il faut avoir une valise de contrôle.
Donc je comprends beaucoup mieux pourquoi, des hommes et des femmes font un métier, pour faire du sport, en tirant des palettes ce qui d'ailleurs contraire à la convention collective, mais Flarence ne doit pas savoir lire, mais toujours est-il qu'elle sait écrire dans sa tribune sur le journal des routiers.
Peut-être nous apprendra-t-elle comment on charge des camions, ou comment on roule dans le désert de l'égoïsme de certain chauffeur routier.
