Travailler moins pour gagner moins, voila une politique que bien des sociétés de transports mettent en place.
Le groupe TRANSALLIANCE, et surement avec l'accord des syndicats, a mis en place cette politique.
Donc les roulants roulent trois semaines et restent une semaine à la maison.
Résultat, pour ceux qui ont signés un contrat de 200 heures, ils ne perdront que la partie frais soit 5 grands découchés.
Mais pour les arrivants qui ont signés des contrats plus court en terme d'heures, l'addition va être salée, car s'ils sont habitués à effectuer entre 200 et 220 heures, et si le contrat est signé sur le minimum conventionnel, la perte du salaire risque d'atteindre plus de 800 €uros.
Le président actuellement en voyage officiel au Mexique, avait dit travailler plus pour gagner plus. Son slogan a du plomb dans l'aile,car il est transformé par les sociétés en "si vous voulez travailler, vous devrez vous serrer la ceinture".
Enfin son voyage aura au moins servi à une personne, nous l'espèrons, et cette femme pourra dire, de 60 au Mexique, je passe à 20 en France.
Mais quand la crise aura pris fin, on oubliera, et les aigrefins qui aujourd'hui se gavent sur le dot de cette crise, tant dans le transport qu'ailleurs, se feront oublier, et nous préparerons d'autres entourloupettes pour encore mieux se gaver.
Pourtant tout espoir n'est pas mort, car nous avons "ouf" les Restos du Coeurs".
Le groupe TRANSALLIANCE, et surement avec l'accord des syndicats, a mis en place cette politique.
Donc les roulants roulent trois semaines et restent une semaine à la maison.
Résultat, pour ceux qui ont signés un contrat de 200 heures, ils ne perdront que la partie frais soit 5 grands découchés.
Mais pour les arrivants qui ont signés des contrats plus court en terme d'heures, l'addition va être salée, car s'ils sont habitués à effectuer entre 200 et 220 heures, et si le contrat est signé sur le minimum conventionnel, la perte du salaire risque d'atteindre plus de 800 €uros.
Le président actuellement en voyage officiel au Mexique, avait dit travailler plus pour gagner plus. Son slogan a du plomb dans l'aile,car il est transformé par les sociétés en "si vous voulez travailler, vous devrez vous serrer la ceinture".
Enfin son voyage aura au moins servi à une personne, nous l'espèrons, et cette femme pourra dire, de 60 au Mexique, je passe à 20 en France.
Mais quand la crise aura pris fin, on oubliera, et les aigrefins qui aujourd'hui se gavent sur le dot de cette crise, tant dans le transport qu'ailleurs, se feront oublier, et nous préparerons d'autres entourloupettes pour encore mieux se gaver.
Pourtant tout espoir n'est pas mort, car nous avons "ouf" les Restos du Coeurs".