Qu’avons-nous fait, pour être considérés comme nous le sommes actuellement sur les autoroutes de France ??
Nous qui faisons un travail, qui va vers le bien-être de toutes et de tous.
Nous qui sommes un rouage essentiel et sinon primordial de l’économie d’un pays aussi grand soit-il.
Le monde des automobilistes lambda nous rejettent sous prétextes que nous les empêchons de tourner en rond.
Les préfets aussitôt que trois flocons de neige tombent, nous obligent au nom de la sécurité de mettre fin à notre activité professionnel, et nous parquent tel du bestiaux, n’importe où et nous oublient le temps de intempéries.
Les salaires cette année n’évoluerons pas, surement à cause de la crise des banquiers.
Et pourtant les solutions existent, mais pour cela faut-il en avoir le courage de les mettre en place.
La première solution passe par refaire en tout premier lieu ce qui n’aurait jamais du être défait.
Les concessionnaires d’autoroutes sont devenus des pourvoyeurs de chômage, des guichets automatiques ont pris place aux péages, et il ne faut pas croire que c’est pour facilité le passage, nenni, c’est une question de rentabilité, et en plus les machines ne ce mettent pas en grèves.
Une fois je suis resté plus de cinq minutes derrière un automobiliste, qui ne savait pas se servir, de ces robots.
Mais cela n’a pas d’importance puisqu’il n’y a plus personnes dans les péages. Il faut appuyer sur un bouton pour entendre une voix ensommeillée nous redonner la marche à suivre, et surtout souriez car vous êtes filmés.
Et pourtant les Stes concessionnaires d’autoroutes ont un cahier des charges bien précis, mais dont elles se moquent éperdument, seul compte à leurs yeux les recettes.
Et nous sommes leurs portefeuilles.
Dans ce cahier des charges il y a la libre circulation des biens et des marchandises. Ce qui implique le déblaiement de la neige quand celle-ci tombe, et non pas le nettoyage des déchets une fois que les usagers de toutes sortes ont laissés après avoir été bloqués involontairement sur les axes autoroutiers.
Je propose, une règle élémentaire et simple, pour une heure d’attente forcée sur autoroute, le non-paiement du péage.
Pour deux heures d’attente forcée, un dédommagement de l’usager, exemple le prix du péage multiplié par dix.
En mettant ces règles en place, comme l’a fait la SNCF, je subodore que les Stes concessionnaires d’autoroutes feraient leurs ce pourquoi elles sont mandatées.
De plus remettre dans chaque péage des personnes qui n’auraient jamais dues quitter ces postes afin de venir en aide aux personnes démunies de moyen de paiements.
D’obliger de sécuriser les parkings, car que je sache, lorsque nous pénétrons sur les autoroutes nous rentrons dans un domaine privé, et ces Stes nous doivent la sécurité des biens et des marchandises.
Il est toujours très facile d’être des tiroirs caisses, lorsque c’est l’ensemble de la communauté qui supporte, les errements de ces Stes en matières, de sécurité.
Nous qui faisons un travail, qui va vers le bien-être de toutes et de tous.
Nous qui sommes un rouage essentiel et sinon primordial de l’économie d’un pays aussi grand soit-il.
Le monde des automobilistes lambda nous rejettent sous prétextes que nous les empêchons de tourner en rond.
Les préfets aussitôt que trois flocons de neige tombent, nous obligent au nom de la sécurité de mettre fin à notre activité professionnel, et nous parquent tel du bestiaux, n’importe où et nous oublient le temps de intempéries.
Les salaires cette année n’évoluerons pas, surement à cause de la crise des banquiers.
Et pourtant les solutions existent, mais pour cela faut-il en avoir le courage de les mettre en place.
La première solution passe par refaire en tout premier lieu ce qui n’aurait jamais du être défait.
Les concessionnaires d’autoroutes sont devenus des pourvoyeurs de chômage, des guichets automatiques ont pris place aux péages, et il ne faut pas croire que c’est pour facilité le passage, nenni, c’est une question de rentabilité, et en plus les machines ne ce mettent pas en grèves.
Une fois je suis resté plus de cinq minutes derrière un automobiliste, qui ne savait pas se servir, de ces robots.
Mais cela n’a pas d’importance puisqu’il n’y a plus personnes dans les péages. Il faut appuyer sur un bouton pour entendre une voix ensommeillée nous redonner la marche à suivre, et surtout souriez car vous êtes filmés.
Et pourtant les Stes concessionnaires d’autoroutes ont un cahier des charges bien précis, mais dont elles se moquent éperdument, seul compte à leurs yeux les recettes.
Et nous sommes leurs portefeuilles.
Dans ce cahier des charges il y a la libre circulation des biens et des marchandises. Ce qui implique le déblaiement de la neige quand celle-ci tombe, et non pas le nettoyage des déchets une fois que les usagers de toutes sortes ont laissés après avoir été bloqués involontairement sur les axes autoroutiers.
Je propose, une règle élémentaire et simple, pour une heure d’attente forcée sur autoroute, le non-paiement du péage.
Pour deux heures d’attente forcée, un dédommagement de l’usager, exemple le prix du péage multiplié par dix.
En mettant ces règles en place, comme l’a fait la SNCF, je subodore que les Stes concessionnaires d’autoroutes feraient leurs ce pourquoi elles sont mandatées.
De plus remettre dans chaque péage des personnes qui n’auraient jamais dues quitter ces postes afin de venir en aide aux personnes démunies de moyen de paiements.
D’obliger de sécuriser les parkings, car que je sache, lorsque nous pénétrons sur les autoroutes nous rentrons dans un domaine privé, et ces Stes nous doivent la sécurité des biens et des marchandises.
Il est toujours très facile d’être des tiroirs caisses, lorsque c’est l’ensemble de la communauté qui supporte, les errements de ces Stes en matières, de sécurité.